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3ème Sermon – L’absence de la Vraie Grâce de Dieu dans le Christianisme aujourd’hui

Jésus - reçu par Dr Samuels le 25 Août 1957, Washington, USA.

C’est moi, Jésus.

Je souhaite donner plus de détails au sujet du message d’Amour du Père et de sa disponibilité pour toute l’humanité, à travers la prière que nous Lui adressons pour son apport, ainsi que les raisons pour lesquelles les églises, telles qu’elles sont constituées aujourd’hui, ne possèdent pas le message de « l’heureuse nouvelle de l’immortalité » que j’ai prêchée lorsque je suis venu sur la terre en tant que Messie de Dieu.

Permettez-moi de répéter que le concept Chrétien de la divine trinité est simplement une invention humaine, personne n’est baptisé par l’Esprit Saint au sens où cela est enseigné par les églises.

La totalité du message de mon ministère, alors que j’étais sur la terre, l’heureuse nouvelle que l’Amour Divin du Père était disponible pour l’âme humaine et que c’est cet Amour qui transforme une âme humaine en une âme divine et permet ainsi à l’humanité d’atteindre l’immortalité, a été interprété à tort comme un amour humain et soumis à des souillures. La Volonté du Père, que l’homme devait devenir un avec Lui dans Son Amour, n’a pas été réalisée et n’est pas enseignée par les églises. Mais je tiens à déclarer, avec toute l’autorité que je possède, que Dieu n’est pas raillé et que Sa Volonté doit et finalement régnera. Ce seront eux, les hommes, qui viendront au Père pour cet Amour et seront ainsi transformés comme Ses Vrais Enfants dans le libre arbitre, l’amour et la compréhension, dans l’âme, des Vérités que ces sermons, et d’autres à suivre, montrent le chemin vers Lui.

L’Amour, alors, qui est maintenant la préoccupation des églises qui se réclament du Christianisme, n’est pas cet Amour Divin que je suis venu révéler et rendre disponible pour les Juifs et pour toute l’humanité. Mais c’est cet amour qui est seulement humain qui fut donné à l’humanité avec l’implantation de l’âme humaine dans le vivant appelé homme. Cette âme a été créée à l’image de Dieu mais pas dans Son Essence, de sorte que, indépendamment de ce qu’enseignent les églises, l’âme de l’homme n’est pas divine, et l’homme ne peut pas regarder en lui-même pour développer tout ce que l’on appelle étincelle divine, car il n’y en a aucune. Mais il peut tout simplement développer les qualités de l’âme humaine qu’il possède déjà, et son amour humain pour son prochain ainsi que son amour humain pour Dieu, comme Moïse l’avait déjà enseigné.

C’est pour cette raison que les églises, qu’elles le veuillent ou non, ont continué à considérer les Dix Commandements comme le code moral par lequel les Chrétiens devaient vivre. Alors qu’ils enseignent que mon sang versé rachète les fidèles de leurs péchés, ils se rendent compte cependant que les bons pratiquants, ainsi que toute l’humanité, continuent dans le péché. Ils comprennent aussi que cet amour, que Jésus est censé avoir pour eux, ne les empêche pas de pécher. C’est seulement par l’obéissance aux Dix Commandements, avec l’encouragement et les exhortations des prêtres et les menaces d’un enfer éternel de soufre et du feu, que les fidèles sont en mesure de progresser dans leur lutte sincère contre les tentations et l’indulgence illicite de leurs désirs matériels.

Dans leur prière à Dieu, ils demandent, par conséquent, Son Aide afin que leurs âmes soient purifiées du péché. En effet, Dieu aide le pénitent sincère en envoyant Ses ministres pour renforcer la volonté humaine dans les personnes qui cherchent de l’aide. Néanmoins le problème, pour les fidèles Chrétiens, continue d’être le problème du péché ainsi que les efforts de la volonté humaine afin d’éliminer les tendances pécheresses à laquelle leurs âmes sont sujettes, tout comme d’éviter, de nouveau, les tentations auxquelles leur chair les soumet. Et, alors qu’ils pèchent, ceux qui se repentent sincèrement et se tournent vers Dieu dans la prière, remarquent qu’ils sont réellement libérés. Et, aussi étrange que cela puisse paraître, l’âme pénitente n’est donc plus la même âme que celle qui a péché, son état est différent et elle est purifiée de ce péché. Cependant, cet état purifié est soumis à la tentation du plan terrestre et, avec leur volonté humaine et leur désir de ne plus pécher à cause de leur sincère amour humain envers moi ou, comme ils le pensent, de Dieu, et à cause de la peur de ce qu’ils pensent être la colère de Dieu, du purgatoire, de l’enfer éternel, ils tentent de ne plus pécher et ils peuvent, temporairement, réussir. Cependant, nous sommes consternés de constater que, malgré leurs croyances que c’est leur chemin vers Dieu, tôt ou tard, ils succombent des maux qui s’accrochent à leurs âmes, et ils pèchent de nouveau. Ce processus se répète continuellement et avec peu de régression dans leur vie. La seule consolation que le Chrétien sincère peut avoir est le sentiment qu’il est victorieux, dans une certaine mesure, dans la guerre constante contre le péché, car sa volonté continue d’être renforcée et son amour accru pour sa Déité contribue à réduire, en ce sens, ses désirs pour le péché.

Et il conclut donc que la grâce, ou son baptême par le Saint-Esprit, ou l’amour de Jésus et son sacrifice rédempteur, dont il est censé être le bénéficiaire en vertu de sa foi au nom de Jésus, ne l’a pas purifié du péché et donc qu’il n’a pas vraiment accompli la Loi, étant donné qu’il doit continuer à vivre selon les lois de Dieu pour ne pas pécher. Car il sait que si les Commandements ont été donnés par Dieu qu’il ne devrait pas pécher, alors le supposé sacrifice du Christ eut lieu aussi afin qu’il ne pèche plus et que l’Esprit Saint, qu’il croit être en lui, devrait être la puissance qui le protégerait contre les désirs de pécher et le libérer du péché. Paul a enseigné dans Romains II 14-15 : que les Chrétiens peuvent faire par nature les choses contenues dans la Loi, mais cela ne s’est pas réalisé. Et si l’homme d’église, sincère, estime que sa grâce, comme les églises le prêchent, n’accomplit pas la Loi qu’il doit alors continuer à obéir, il doit alors trouver sa consolation dans la pensée que, comme il lui a été enseigné, le sang de Jésus couvrira ses péchés. Cependant, si cela est le cas, alors le Christianisme dégénère en une religion dans laquelle l’humanité peut continuer de violer les Lois de Dieu, parce que le sang de Jésus couvrira les péchés de ceux qui croient en son nom, et que Dieu peut accepter, dans sa Sainte Maison, une âme empreinte de péché et de mal, simplement à cause de la foi en ce nom.

Par conséquent, les Chrétiens et l’humanité tout entière, doivent comprendre que ni le sang de Jésus, ni le sang de quiconque, a le pouvoir de laver les péchés que chacun d’eux a commis et qu’une âme n’est purifiée que dans la mesure où elle est obéissante aux Lois de Dieu. Les Chrétiens doivent aussi comprendre que la « grâce », qu’il leur a été enseignée comme leur appartenant en tant que résultante de leur foi en Dieu, ou en Jésus, comme la soi-disant deuxième personne de la Trinité, n’est pas la Vraie Grâce – l’Amour du Père – qui vient à l’homme que par la prière au Père pour elle. C’est seulement une purification de leur propre amour humain sans être certain de pouvoir éliminer le péché comme le fait l’Amour Divin qui, non seulement purifie l’âme humaine, mais la transforme en une âme divine. Et c’est la raison pour laquelle les Chrétiens, malgré qu’ils restent accrochés à la soit disant expiation déléguée, sont tellement préoccupés par le recul moral – péchant après qu’ils aient été informés qu’ils ont gagné le salut par la foi dans le nom de Jésus. Et c’est pourquoi les Catholiques ont leur « purgatoire », la purification de l’âme après la mort matérielle, après qu’ils ont appris que le sang de Jésus les a rachetés du péché. Et c’est pourquoi, comme je l’ai dit, le Christianisme aujourd’hui, quelle que soit la prédication des prêtres et pasteurs, est simplement une religion identique au Judaïsme, plaçant son ultime confiance dans les Dix Commandements de Moïse pour la purification de l’âme humaine, sans la puissance du Nouveau Cœur que je suis venu apporter aux Juifs et à toute l’humanité. C’est pourquoi les églises ne connaissent pas le message de l’immortalité – à travers la prière au Père pour Son Amour – comme je l’ai prêché lorsque j’étais sur la terre en tant que Messie de Dieu.

Avec toutes mes bénédictions et celles du Père, Je suis Jésus de la Bible et Maître des Cieux Célestes.