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2ème Sermon – l’échec du Christianisme à prêcher l’Amour du Père

Jésus - reçu par Dr Samuels le 24 Août 1957, Washington, USA.

C’est moi, Jésus.

J’attendais de pouvoir vous écrire un autre sermon sur l’Amour du Père et sur Son désir que l’humanité reçoive son amour et devienne Son enfant immortel à travers la prière avec Lui. Je tiens donc à continuer au sujet des raisons pour lesquelles les églises ne sont pas en possession de cette grande Vérité.

Maintenant, je ne veux pas dire quoi que ce soit qui pourrait être interprété comme péjoratif pour les pratiques religieuses fondamentales, comme l’aide communautaire, la charité, la protection sociale et l’enseignement moral. Les églises les utilisent comme des forces permettant de ramener l’homme en harmonie avec les Lois de Dieu par l’obéissance aux codes moraux et éthiques, comme, en premier lieu, le Décalogue de Moïse ou ses équivalents développés et pratiqués dans les églises Orientales.

En effet, la morale et l’éthique religieuse étaient, avant ma venue, le seul type de religion connue pour ces Églises d’Orient et pour le Judaïsme. Le fait est que le Christianisme, à travers ses diverses branches et ramifications, perpétue simplement ce type de religion – un code de vie moral et éthique – avec un mélange païen positif qui m’élève, de façon blasphématoire, vers une deuxième partie inexistante de la Divinité. Il ne comprend cependant pas que je ne suis pas venu pour purifier les âmes à travers des principes moraux et éthiques, comme l’a fait Moïse, et que je les ai simplement confirmés comme des Lois données par Dieu. Le Christianisme ne comprend pas que je suis venu comme le Messie de Dieu, pour rendre disponible à l’humanité, à travers la prière au Père pour sa transformation, une âme non seulement purifiée du péché, mais une âme divine, rendue ainsi par le flot constant en elle de l’Amour Divin du Père, incapable de péchés, et imperméable à la tentation. Cette âme ne serait plus dans le besoin des Dix Commandements de Moïse ou autre codes moraux et éthiques des autres religions.

Cet Amour Divin, le don d’amour du Père pour quiconque le cherche avec ferveur dans la prière, est immergé dans l’âme par l’Esprit Saint, qui n’est pas la soi-disant troisième personne de la trinité, ni même l’Esprit de Dieu de l’Ancien Testament, comme les églises le prêchent, mais cette Énergie de Dieu désignée pour effectuer cette mission délicate, et c’est ce que les Chrétiens, de façon erronée, appellent et prêchent la Grâce de Dieu qui accomplit la Loi. Car ce n’est pas l’Esprit Saint qui accomplit la Loi, mais l’Amour du Père et c’est cet Amour et non pas l’Esprit Saint qui est en réalité la Grâce qui imprègne l’âme.

Et cet état de Grâce, si je peux utiliser l’expression, n’est pas une condition fixe ou statique, due à la croyance en mon nom et à la participation au rite artificiel de la messe et à ses origines païennes. Il n’est pas non plus obtenu par l’intermédiaire de toute expiation déléguée et la conséquence de ma crucifixion – comme cela est prêché par les églises. C’est un processus continu de transformation de l’âme en une Essence Divine, à travers la prière constante et sérieuse au Père pour Son Amour, dans ce monde et dans l’autre, tout au long de l’éternité.

Ce message de la vie éternelle, par le Don de l’Amour Divin de Dieu est le message, qu’en tant que Messie de Dieu, j’ai enseigné, aux Hébreux et à toute l’humanité, alors que j’étais sur terre. Il représente le seul moyen d’atteindre l’immortalité de l’âme, par l’intermédiaire de l’Union et de la Réconciliation avec Dieu.

Je tiens à souligner, et à répéter, afin que ce soit bien compris, que cet Amour n’est pas l’amour humain que l’homme a, ou peut avoir, pour son prochain et pour Dieu. Cette distinction n’est pas comprise par les églises car elles croient que l’amour est universellement identique, et que j’ai aimé, et que Dieu aime, l’humanité avec le même amour que l’homme a pour Dieu et son prochain. Ce n’est pas vrai, car l’abondance de l’amour pour son voisin est tout simplement une abondance de l’amour humain que Dieu a donné à l’homme lors de sa création. Cependant, l’Amour de Dieu pour Ses enfants est Divin et peut venir seulement dans l’âme humaine par la prière au Père et c’est de cette façon que le processus de transformation de l’âme divine par l’Amour du Père peut s’effectuer.

La potentialité de la réception de l’Amour du Père, Amour que l’homme n’a jamais possédé depuis sa création, mais qui était pourtant disponible à cet instant, fut perdu par les premiers parents humains au moment de leur Chute, et elle est restée perdue jusqu’à ce qu’elle fut, de nouveau, mise à la disposition de l’humanité avec ma venue. Car ce fut comme un être humain, doué d’une âme remplie de l’Amour Divin du Père, ce qui signifie une âme divine et une avec l’Essence du Père, que je fus, à l’époque, le premier et le seul fils engendré du Père et je fus et je reste, de cette façon, le Messie. Je suis né de l’Esprit Saint en ce que, comme je l’ai dit, c’était cette énergie de Dieu qui apporte et a apporté l’Amour du Père, en mon âme et dans l’âme de celui qui cherche Son Amour par la prière fervente. Comme un être humain, je suis né, comme le sont tous les êtres humains, de mes parents, Marie et Joseph, et en aucune manière mystérieuse et métaphysique, telle qu’enseignée par les églises. Alors que là encore, les églises ne comprennent pas qui j’étais, ou qui je suis, me font naître d’une vierge en violation de la Loi de Reproduction de Dieu et n’ont aucune compréhension de l’Amour du Père, et, comment, par la prière, Il permet à l’humanité d’accomplir le salut pour la vie éternelle dont l’âme de l’homme se languit.

Je vais arrêter maintenant, car j’ai dit ce que j’avais l’intention de dire pour ce deuxième sermon. Il y a beaucoup d’autres choses que je voudrais écrire concernant l’échec des églises à prêcher la bonne nouvelle de l’Amour du Père et je reviendrai pour continuer ces messages. Alors, permettez-moi d’exhorter tous ceux à qui ces sermons parviendront d’avoir foi en Son Amour et Sa Miséricorde et de prier avec toute leur âme pour l’influx de l’Amour du Père, et de faire connaître que le vrai Évangile du Messie, Jésus le Christ, est révélé à nouveau à l’humanité.

Jésus de la Bible et Maître des Cieux Célestes.