Révélations

40ème Révélation : Pourquoi Jésus a enseigné en paraboles ; comment ses disciples ont-ils été en mesure de guérir

Jésus - reçu par Dr Samuels le 25 Octobre et 2 Novembre 1954, Washington, USA.

C’est moi, Jésus.

Vous ne pensiez pas que je viendrais encore ce soir, mais, comme je vois que vous continuez à prier le Père Céleste avec beaucoup de sincérité dans votre âme, vous serez bientôt en état de prendre des messages sérieux et formels du même genre que ceux communiqués par moi, et les créatures célestes, par l’intermédiaire de M. Padgett. Et vous devez croire que vous serez en mesure de les recevoir comme M. Padgett l’a fait quand il était dans cet état d’âme qui nous a permis de lui transmettre des sujets de la plus grande ampleur pour le salut de l’humanité. Je suis ici ce soir pour vous permettre de chercher l’inspiration continue dans ce travail, que, je l’espère, vous continuerez à faire.

Ce soir, je tiens à écrire pour confirmer la conversation que vous avez eu, dans le parc cet après-midi, avec le Dr Stone, au sujet de certaines des paraboles qui m’ont été attribuées dans l’Évangile de Matthieu. Je les ai effectivement prononcées, mais pas précisément dans ces mots, mais en des termes qui, effectivement, ont transmis cette compréhension que l’on ne mettait pas du vin nouveau dans de vieilles outres ou tonneaux ou d’une pièce de drap neuf que l’on ne rajoutait pas à un vieil habit.

Et ici, je voudrais dire que je ne parlais pas de vin ou chiffons dans le sens littéral mais uniquement dans le sens spirituel ou symbolique. Le vin nouveau symbolisait ou représentait vraiment la Nouvelle Naissance, ou l’Amour Divin qui, lorsqu’il est déversé dans l’âme humaine pourrait détruire cette âme et ses pécheresses et maléfiques excroissances. Et la même chose pourrait être dit de la pièce de tissu appliqué sur le vieux costume fait de chiffons qui s’effondrerait et serait détruit. Ce vieux costume représentait l’âme humaine qui, pleine de méchanceté, ne pouvait rester mais serait remise en cause avec la venue du nouveau tissu ou la Nouvelle Naissance, ou l’Amour Divin ce qui entraînerait la fabrication ou la constitution d’un autre costume ou âme – l’âme comme une âme Divine, de l’Essence même du Père.

Et j’ai utilisé ces paroles afin d’introduire un nouveau sujet, peu familier aux Juifs de l’époque, avec les choses de la vie quotidienne qui leur étaient familières et ceci a constitué une méthode de ma technique d’enseignement. Et, de cette façon, j’ai cherché à introduire plus vivement les vérités du Père concernant l’Amour Divin, dont les Juifs de mon temps n’avaient absolument aucune connaissance.

Et permettez-moi de dire, en outre, que lorsque j’ai envoyé mes disciples en paires pour enseigner, je ne leur ai pas permis de guérir les malades, de guérir les aveugles et les boiteux et autres paralysés, parce qu’il n’était pas en mon pouvoir de le faire. Un tel pouvoir pouvait uniquement être obtenu comme conséquence de l’Amour Divin, contenu dans leurs âmes à tel point qu’ils posséderaient le pouvoir de guérir par le Père Céleste. Ce pouvoir serait alors utilisé en obéissance aux prières, pour la guérison de la part de disciples ayant l’Amour Divin en abondance dans leurs âmes. Ainsi, le Nouveau Testament est faux dans cette particularité, comme il fut démontré qu’il était dans l’erreur dans beaucoup d’autres, quand il affirme que j’ai donné à mes disciples le pouvoir de guérir. Ils n’ont pas absolument pas pu guérir jusqu’au jour de la Pentecôte, lorsque l’Amour Divin est venu à eux en abondance si bien qu’ils furent capables de guérir en raison de la puissance que leur a donné l’Amour Divin dans leurs âmes.

Mais je n’ai pas conseillé et instruit mes disciples au sujet de leur circonspection ni je ne les ai conduit à prêcher la Nouvelle Naissance, qu’ils ne comprenaient pas entièrement avec leurs esprits mais pouvaient saisir uniquement avec leurs perceptions de l’âme. Ils ont prêché et fait des convertis qui se sont révélés, plus tard, être de vrais croyants au moment de et après ma mort.