Révélations
36ème Révélation : Joseph et Marie; l’expiation déléguée; l’interprétation erronée concernant les Gentils
Jésus - reçu par Dr Samuels le 20 Décembre 1954, Washington, USA.
C’est moi, Jésus.
Oui, je suis ici, comme vous m’avez perçu spirituellement lorsque je suis entré dans la pièce, et vous voyez que vos perceptions spirituelles se sont élevées avec la prière continuelle et constante de l’Amour Divin et le désir sincère de votre âme à l’union et à la réconciliation avec le Père Céleste.
Je suis ici ce soir pour écrire au sujet de mon père, Joseph, et vous pouvez être absolument certain de sa véracité. En premier lieu, il y a une preuve dans le Nouveau Testament pour montrer, qu’environ neuf mois avant la crucifixion, mon père était en vie, c’était au cours de l’année 29 (A.D.) Je prêchais à Capharnaüm, et les Juifs se demandèrent l’un à l’autre, « N’est-il pas le fils de Joseph et Marie que nous connaissons ? » – Une citation du sixième chapitre de Jean, à la ligne 42, qui montre qu’ils faisaient référence à mon père encore vivant.
L’identité de mon père comme Joseph d’Arimathie fut dissimulée dans un nom qui, en Hébreu, signifie « père du Prophète » et bien qu’il y ait à l’époque de mon ministère une ville en Judée dont Arimathie était une corruption, il est cependant clair qu’un nom a été utilisé pour révéler l’identité de mon père.
En outre, des années plus tard, un siècle ou plus après ma mort, l’idée est devenue populaire, pour les dirigeants chrétiens, de faire croire que ma mère n’a jamais eu d’enfants, et ils ont déclaré que mes frères, Jacques et Jude, qui plus tard ont cru dans ma mission, n’étaient pas mes frères, mais mes cousins. Et ils ont concocté cette histoire selon laquelle ma mère, Marie, avait une sœur du même nom, Marie, qui épousa le frère de mon père, Joseph, et que ce soi-disant frère s’appelait Cléopas ou Alphée. Afin que, ce à quoi la Bible fasse référence lorsque l’on parle d’Alphée, le père de Jacques et Jude, il ne soit pas fait mention, par ce nom, de mon père, mais du prétendu frère de mon père. De cette façon, ces auteurs postérieurs souhaitent inciter les chrétiens à croire que ma mère avait vécu comme une vierge toute sa vie et que mes frères, qui sont mentionnés dans le Nouveau Testament, étaient simplement des cousins. Et en ceci, le désir de mon père pour la dissimulation de son identité, a aidé ces auteurs postérieurs dans leurs tentatives d’éliminer mon père de la scène biblique après ma visite, supposée, aux rabbins, à Jérusalem, à l’âge de douze ans, un incident que j’ai déjà exposé, dans un de mes messages à M. Padgett, comme étant entièrement faux.
Le Docteur s’est posé quelques questions soulevées par les implications de mon message concernant mon père et il est en effet, révolutionnaire, dans son impact sur la conception habituelle de ma relation avec ma famille. Cependant, je peux lui assurer que ce message est authentique. Pour aller plus loin, je peux affirmer que mon père, après avoir vu mon corps matérialisé, et l’Amour Divin qui est entré dans mon âme à la suite de ma matérialisation, a été bouleversé dans ses croyances au sujet de ma mission et il a commencé à l’envisager dans son sens spirituel. Et, après de nombreuses années, lorsque sa grande confusion et ses amères déceptions se furent calmées, il a acquis la foi dans ma mission comme le Messie. Il a alors participé à quelques évangélisations, avec certains des disciples, sur plusieurs îles au large de la côte grecque, notamment Patmos et Chypre. Il a alors, après plusieurs années, fait son chemin vers la Grande-Bretagne où il est mort peu après. L’événement surnaturel, lié au fleurissement d’une branche, n’a aucun rapport factuel avec les événements qui ont marqué son séjour dans l’île de l’empire.
En plus de ces événements dans le Nouveau Testament, que les auteurs postérieurs ont complètement déformé ou éliminé, afin de les accorder avec leurs propres idées préconçues quant à ma messianité et ma divinité, il y a beaucoup de points qui doivent être expliqués. L’un deux est que j’ai parlé sur le pain de vie, qui devait être interprété comme l’Amour Divin. Cependant je n’ai jamais dit que ma chair ou mon sang devraient être consommés afin que mes adeptes puissent recevoir le salut. Ceci, aussi, a été interprété afin de justifier, dans le Nouveau Testament, le concept de la transsubstantiation, lequel, comme je l’avais précédemment écrit à travers M. Padgett, est complètement erroné et particulièrement vexatoire pour moi.
En outre, je tiens à dire que je n’ai jamais statué, dans l’Évangile de Marc et, en fait, ni lui, ni aucun autre de mes disciples n’ont statué, ou écrit, que j’ai comparé les enfants des Gentils à des chiens qui ne devraient pas recevoir la nourriture qui devait être donnée aux enfants, c’est à dire le peuple Juif. Cet incident est censé avoir eu lieu sur la côte de la Méditerranée, près de Tyr et de Sidon. En vérité, il existe une base pour le récit, mais elle fut gravement déformée et mutilée dans sa narration. Il y avait, en effet, une femme païenne qui me cherchait afin que je soigne sa fille malade, et elle s’est adressée à moi en m’appelant Rabbi, car elle savait que j’étais de la nation Juive. Je lui ai dit d’approcher, même si certains de mes disciples voulaient la chasser, et je lui ai demandé pourquoi elle demandait l’aide d’un rabbin juif, étant elle-même une Gentil, et je lui ai demandé si elle savait que les rabbins Juifs lui diraient que la nourriture ne devrait pas être pris des enfants et donnée aux chiens. Sa réponse fut sensiblement celle qui est rapportée dans l’Évangile, et, par le biais de sa foi, je fus, en effet, en mesure de guérir sa fille malade. Cependant, par la suite, il fut alors dit, par le biais de récits méchamment déformés, que je considérais les Gentils comme des chiens. Cela, aussi, est un exemple des incidents qui doivent être portées à l’attention des lecteurs du Nouveau Testament à cause de l’impression, qu’ils laissent sur les humains et esprits, que je faisais des distinctions raciales entre les âmes, ce qui est faux et a causé des dommages considérables à ma mission.
Je pense que j’en ai dit assez pour ce soir et je vais terminer. Cependant, je tiens à vous demander de prier avec ferveur pour l’Amour Divin et je continuerai à vous aider à obtenir les vérités qui n’ont jamais été données à l’homme depuis qu’elles ont été proclamées avec les révisions du 1er et 2ème siècle (A.D.) des écrivains de l’église. Ce sont les signes qui montrent que je suis, dans une large mesure, en rapport avec vous, selon vos capacités et la quantité de l’Amour Divin dans votre âme. Je tiens également à souligner que, par d’autres moyens que dans les révélations sur les Évangiles, moi-même et les esprits Célestes nous vous guidons continuellement. En plus du billet d’avion, je peux parler de l’argent de Noël obtenu par les heures de travail supplémentaires en soirée, et je vous informe que vous ne serez pas licencié le 30 novembre comme vous vous y attendiez et que vous serez guéri de votre kyste sur l’arrière de votre cou. Et donc, je vais dire encore une fois, ayez foi en moi et dans les esprits Célestes et continuez à prier le Père pour Son Amour. Donc avec mon amour et mes bénédictions pour vous et le Docteur, je vais terminer et signer moi-même,
Votre frère aîné, Jésus de la Bible.
Qui vous demande d’avoir de plus en plus la foi, pour des résultats continus.
Commentaire : Ce message a des conséquences importantes, car beaucoup pensent que Joseph est mort durant l’enfance de Jésus. Il supporte deux autres, reçus par l’intermédiaire de deux médiums différents, en Californie, l’un le 6 Février 2000 et l’autre le 9 Février 2000 qui tous deux corroborent l’idée que Joseph d’Arimathie était bien un nom d’emprunt pour Joseph, père de Jésus. Ce dernier était donc bien vivant au moment de la crucifixion de Jésus.