Révélations

33ème Révélation : Les trois rois mages et l’étoile de Bethléem

Jésus - reçu par Dr Samuels le 17 Janvier 1955, Washington, USA.

Ce message fut corrigé ultérieurement par un message donné par Judas le 20 Novembre 2001 qui explique qu’il ne s’agissait pas d’une supernova mais simplement d’une nova, étoile variable. Quant à l’expression « A l’est », il s’agit d’une mauvaise traduction. En fait, le terme grec original signifie « au lever ». Quant au terme « Assyrie », il est inexact puisque l’Assyrie n’existait plus à cette époque. Le terme à utiliser était « Mésopotamie ». Ce sont les propres pensées du médium qui ont interféré avec le message.

C’est moi, Jésus.

Je suis de nouveau, ici, pour vous écrire sur les erreurs contenues dans le Nouveau Testament, comme nous l’avons déjà fait, et, étant donné que nous devons poursuivre le travail, je vais aller de l’avant et vous décrire un certain nombre d’entre elles traitant de mon enfance.

La première chose dont je souhaite vous parler est l’étoile de Bethléem, qui, en réalité, n’était pas une étoile mais une explosion nova, ou supernova, qui a causé une lumière considérable dans les cieux, à l’est au-dessus de Tyr et de Babylone, mais pas en Judée ou en Israël. Les trois Rois Mages qui ont vu cette supernova exploser dans les cieux étaient des astrologues ayant la connaissance d’un antique savoir astrologique Chaldéen. Ils ont conclu, suite à l’apparition de la grande lumière dans les cieux, qu’un grand événement devait avoir lieu. En fonction de leur très bonne connaissance des Écritures Hébraïques et avec l’aide des cercles Hébraïques en Assyrie, ils ont décidé de se rendre en Judée, où il était prédit qu’un Messie, pour les Hébreux et pour toute l’humanité, devait naître.

Cela leur semblait d’autant plus vrai que la lumière semblait pointer dans une direction ouest et ils se sont mis en route pour Jérusalem, la capitale de la Judée, plutôt que vers Israël ou la Galilée. En raison des préparatifs pour le voyage et le voyage réel à travers le désert d’Arabie, beaucoup de temps s’est écoulé avant qu’ils n’atteignent Jérusalem. La lumière n’était plus avec eux, ayant disparu après avoir été vu, dans les cieux orientaux, pendant plusieurs semaines et causée une grande excitation et anxiété dans le pays.

Alors qu’ils étaient en chemin, à travers le désert, Ils ont acheté, dans l’une des villes arabes, des cadeaux de myrrhe et d’encens en plus d’une petite quantité d’or. Les trois Rois Mages ont en effet estimé que, puisqu’ils ne savaient pas exactement ce qu’ils pouvaient offrir au Messie Hébreu, ils pouvaient offrir quelque chose appréciée par les Arabes qu’ils jugeaient plus proches, par la parenté, des Hébreux. C’est pour cette raison que les cadeaux offerts, à ma naissance, par les trois Rois Mages, ne ressemblent pas aux cadeaux offerts aux nouveau-nés dans les traditions Hébraïque, Persane ou Chaldéenne mais reflètent la tradition Arabe.

Lorsque les Rois Mages sont entrés à Jérusalem, ils sont d’abord allés au Temple et ont posé des questions sur la naissance du « Messie Hébreu pour toute l’humanité, » celui qui devait devenir « le Roi des Juifs. » Et les grands prêtres ont envoyé les trois astrologues à Hérode, car ils craignaient que toute mention d’un « Roi des Juifs » soit de nature politique et puisse paraître offensante pour Hérode, avec qui ils étaient alliés pour le maintien du statu quo à Jérusalem. Hérode s’est inquiété et il a posé différentes questions quant à la date de la soi-disant « Etoile de Bethléem » afin de déterminer l’âge des enfants Hébreux de Bethléem qu’il devait passer par l’épée pour éliminer toute chance d’apparition de ce Messie des prophéties.

Les trois Rois Mages purent se rendre à Bethléem pour rendre hommage à ma naissance. Cependant, leur venue était due à un événement qui s’était produit, deux ans auparavant, dans les cieux orientaux. Au moment de ma naissance, qui s’est produite le 7 Janvier, peu après minuit, il n’y a pas eu de grande étoile lumineuse qui a guidé les trois hommes vers Bethléem et les bergers qui veillaient leurs moutons n’ont pas remarqué quelque chose d’inhabituel. Ils n’ont pas vu non plus des anges annoncer la naissance d’un Messie, car, jusqu’à ce que j’aie obtenu suffisamment d’Amour Divin dans mon âme qui me permette d’avoir une connaissance de mon immortalité et jusqu’à ce que je sois oint, en tant que Christ, par mon baptême par Jean, il n’y avait pas de Messie. Même si j’étais destiné à devenir le Messie, comme je le sais maintenant, le fait est que, si, en fonction de mon libre arbitre, je n’avais pas agi en conformité avec la volonté du Père Céleste, il n’y aurait pas eu de Messie. Le destin de ma vie était, selon la Volonté du Père, dépendant de mon propre choix et décision.

Mais, comme il était connu qu’une femme avait donné naissance, dans une étable, à la périphérie du village, et parce que mon père était sorti pour annoncer la naissance de son premier-né et inviter ces bergers à partager un peu de vin et des gâteaux fournis par les propriétaires et payés par lui, ces bergers sont venus à ma naissance. Il est habituel, chez les Juifs, de fêter la naissance d’un enfant, surtout un fils. Il y eut donc la célébration habituelle pour la naissance d’un fils, avec des chants et des louanges à Dieu et une action de grâce pour l’accouchement sans problèmes de la mère et pour le bien-être de l’enfant.

Et c’est à partir de ces moments de joie qu’une légende s’est construite sur les circonstances de ma naissance, dans laquelle l’accent fut mis sur l’élément surnaturel, tant aimé par les écrivains postérieurs du Nouveau Testament. Ceci est la source de beaucoup de scepticisme chez les personnes qui cherchent leur religion immergée dans la raison et la réalité, et dépourvue de légende et, dois-je ajouter, fausse.

J’ai pensé à écrire au sujet de ces faits parce que ce sont les premiers instants de ma vie qui sont le plus enveloppés d’ignorance et de mystères et ont besoin de nombreuses explications. Je dois arrêter maintenant et continuer ma vie éducative et mon étude des Écritures sous la tutelle du Père Céleste, et tracer le cours de ma conviction absolue que je possédais l’Amour du Père et que j’étais le Messie promis aux Hébreux et à toute l’humanité.

Je vais arrêter maintenant et vous dire bonne nuit, mais pas avant de saluer mon bon ami le Docteur. Je vous bénis tous les deux avec mon amour et je prie le Père d’envoyer, vers vous, Son Amour Divin dans de merveilleuses proportions.

Votre ami et frère aîné, qui vous aime tant et qui vous pousse à continuer à prier pour l’Amour Divin,

Jésus de la Bible.

De plus amples informations concernant les trois mages furent reçues par la suite de Jésus.