Messages Divers

Mariages civils, le divorce, l’adultère, le contrôle des naissances et l’avortement 1

Jésus - reçu par Dr Samuels le 1er Avril 1961, Washington, DC, USA.

C’est moi, Jésus.

Puisque le mariage est un domaine vital de la vie dont l’importance ne peut jamais être trop fortement affirmé, je tiens à vous écrire à nouveau sur le sujet indiquant ma position à l’égard du mariage à laquelle je tiens et qui est donc la position de l’Église de la Nouvelle Naissance. Je veux vous dire que, dans le futur, notre église va unir principalement les protestants de différents groupes, y compris les chrétiens scientistes, parce que Mary Baker-Eddy est activement avec nous. Cependant, il y a des catholiques qui, tout en se conformant, extérieurement, aux doctrines de leur Église, sont, dans leur cœurs, douteux ou ne croient pas. Je tiens à mentionner ici aussi l’attitude des Catholiques envers le mariage et montrer le nouveau concept de l’Église de la Nouvelle Naissance vis à vis du mariage et de la relation dans le mariage, et sa différence vis à vis de ces autres religions. Je ne traiterai pas du mariage Juif, car il est très similaire à la position protestante, en substance, sinon dans les apparences.

Parce que le mariage entre âmes sœurs continue dans le monde de l’esprit et durant toute l’éternité dans les Cieux Célestes, et parce les âmes sœurs doivent finalement s’unir dans la vie de l’esprit, si ce n’est sur le plan terrestre, le mariage se présente comme l’une des caractéristiques les plus importantes de la vie de l’âme, et continue sur les plus hautes sphères durant toute l’éternité.

Le mariage a toujours été, grâce à la connaissance intuitive, un événement de la plus grande importance, la cause de la solennité et de la joie, un événement saint pour l’homme et pour Dieu. Il serait absurde de penser que seul le Catholicisme reconnaît la sainteté de cette institution, comme il le prétend pompeusement, parce que le Catholicisme continue ici simplement les saintes traditions de la foi Hébraïque dans lesquelles mes propres parents, Myriam (Marie) et Joseph, se sont mariés, avec toute la couleur, l’apparat et l’amour qui accompagnaient l’ancien rite Hébreu. Le mariage n’a jamais été un sacrement institué soit par moi ou par l’Église Catholique tel que défini par le Conseil de Trente 2, mais simplement une réaffirmation des principes Hébreux, de l’amour mutuel et de la compréhension qui remontent au temps d’Abraham et Sarah, modèles d’amour, de piété et de dévotion et fut tout autant un «sacrement» que ceux célébrés en conformité avec l’idée du sacrement formulée par le Concile de Trente.

Premièrement, l’Église de la Nouvelle Naissance reconnaît comme valide tous les mariages légaux effectués par d’autres églises ou par les autorités civiles. Les personnes qui ont accepté mes enseignements comme contenant la vérité, si elles se sont mariées par l’intermédiaire d’une quelconque Église ou d’une manière seulement civile, sont légalement mariées aux yeux de l’Église de la Nouvelle Naissance. Le baptême, ou l’absence de celui-ci, comme je l’ai présenté ailleurs, n’a rien à voir avec le mariage, et la distinction de la part des Catholiques entre un mariage de couples non-baptisés et ceux unis dans le «Sacrement» du mariage en lien avec le baptême antérieur est simplement une institution humaine et sans fondement en regard des lois, de la volonté ou de l’intention de Dieu.

Deuxièmement, la Nouvelle Naissance affirme que le mariage est monogame, qu’il est limité à l’union d’une femme et d’un homme. Les anciens Hébreux pratiquaient les mariages multiples, mais, dans le temps, cette pratique est progressivement tombée en disgrâce, et, durant ma vie sur la terre, cette coutume fut condamnée par Hillel. (Pirke 11:8, «Le plus de femmes, le plus de sorcellerie»).

Et bien que la polygamie ait persisté durant plusieurs siècles après Hillel, aucun rabbin sincère, ou pieux, acceptait de se marier à plus d’une femme à la fois. Et en l’an 1000, le rabbin Gershom ben Judah, le chef spirituel et guide, en ce temps-là, pour les Juifs en Europe, a interdit la polygamie. Il a publié un « cherem », ou décret religieux, promulgué contre quiconque contracterait un tel mariage par fraude ou subterfuge.

Troisièmement, quand un couple, non précédemment marié, comparaît, en vue du mariage, devant un ministre faisant autorité ou un dirigeant de l’Église de la Nouvelle Naissance, ce couple doit se conformer aux exigences légales du mariage de leur juridiction civile, notamment celle de leur pays. En outre, le mariage doit être fondé sur :

1 – le libre arbitre et le consentement de la part des deux parties,

2 – le mariage doit être exprimé publiquement et célébré en présence d’au moins deux témoins,

3 – les parties contractantes doivent avoir la capacité de raisonnement d’esprit afin de compren-dre ce qu’elles font,

4 – le couple doit avoir l’intention intérieure de remplir toutes les obligations que le mariage implique,

5 – un mariage non consommé peut être dissous ou annulé par l’une des parties selon la demande formelle de l’agent religieux approprié de l’Église Mère.

Quatrièmement, l’Église de la Nouvelle Naissance n’a rien de défavorable à déclarer, ni n’émet des réserves à propos d’un mariage mixte où l’une des parties appartient à l’une des Églises protestantes, ou à l’une des sectes Juives réformées ou libérales. Mais devant l’intransigeance actuelle de l’Église Catholique et du groupe Juif Orthodoxe, je pense qu’il serait souhaitable de ne faire aucune déclaration générale d’approbation vis à vis d’eux, en ce moment, mais de fonder une décision à propos de chaque cas particulier au moment voulu. Dans le passé, ces groupes religieux ont insisté catégoriquement sur leur propre chemin et la discorde familiale; la perte de la foi et la négligence de l’instruction religieuse des enfants en ont été la conséquence. Cependant beaucoup de mariages mixtes peuvent être et ont été très réussis et heureux lorsque les parties contractantes, membres de groupes Protestants ou Juifs, ont rejoint une organisation religieuse plus libérale, non sectaire, où les principes de la vie droite sont privilégiés plutôt que des rites et des cérémonies restrictives. Je sens que l’Église de la Nouvelle Naissance, rejetant les interprétations étroites et strictes, privilégiant l’accent sur la vie éthique et la prière au Père pour la santé de l’âme et l’essence divine pour la vie éternelle avec Dieu dans les Cieux Célestes, encouragera la tolérance des fondements divergents et les insuffisances humaines, dans la foi profonde et la fidélité au conjoint par l’efficacité de l’Amour Divin du Père dans l’âme de chaque partie et dans le plus grand respect et la compréhension de la personnalité de l’autre grâce à la connaissance de la vie de l’âme.

Divorce

Cinquièmement, je tiens à préciser la position de l’Église de la Nouvelle Naissance en matière de divorce. Cet acte de séparation légale fut accordé par Moïse, conformément aux usages de son temps et pour résoudre, d’une manière pratique, les conditions de la discorde matérielle, pour une communauté pratique. Lorsque je suis venu sur la terre, je me suis prononcé contre le divorce, parce qu’à cette époque je prêchais le Royaume de Dieu pour l’homme, et cela signifiait que, dans les conditions idéales de l’âme dans les Cieux Célestes, il n’y aurait pas de divorce, parce que les âmes sœurs sont tout simplement une âme intégrée sous l’apparence de la partie mâle et femelle. Lorsque plus tard les écrivains du Nouveau Testament ont discuté sur ce sujet, ils n’avaient aucune compréhension de mes enseignements et ils ont pensé que le mariage «Sacrement» du peuple dans la chair ne peut pas être rompu par le divorce ou la séparation. Ainsi ils ont abaissé mon concept d’union d’âmes sœur, par la non-compréhension, au niveau de la terre.

Maintenant, je tiens à réaffirmer ce que je l’ai dit dans mon sermon au Dr Samuel le 3 Janvier 1955. Lorsque des discordances surviennent dans le mariage suite à des mauvaises influences ou en conséquence d’une différence de formation, d’éducation, d’arrière-plan religieux, ethnologique, économique ou autre et produisent des divergences de vue et de pratique, les prières au Père pour éliminer l’égoïsme, la volonté propre et le mal dans le cœur sont le meilleur et le plus efficace moyen de promouvoir l’harmonie et le bonheur dans la relation du mariage: ayez la foi et priez et vous verrez ce que l’Amour de Dieu peut faire et a fait dans l’âme. En outre, l’action sur le plan de l’amour humain parfait est également recommandé de toute urgence; le recours à ces organismes publics, qui aident, clarifient les différences et favorisent la tolérance et la volonté de faire des compromis. Je recommande donc que les couples, dans leurs vœux de mariage, ou précédemment à eux, conviennent de consulter, en cas de besoin, un conseiller conjugal de bonne réputation afin d’obtenir des conseils appropriés. Ils pourront ainsi se tourner vers tout ce que les approches modernes peuvent offrir afin de chercher à rétablir la santé d’un mariage malade et d’entreprendre tout ce qui est possible et disponible, y compris la consultation de l’agent de l’Église de la Nouvelle Naissance, ou les administrateurs, avant d’entreprendre toute action en vue d’une séparation ou le recours au divorce. Le divorce, s’il est accordé par l’autorité civile, sera reconnu par l’Église de la Nouvelle Naissance et il en sera de même pour le remariage civil.

Nous savons tous que les êtres humains sont soumis aux maux et vicissitudes du plan terrestre, mais le malheur qui découlent des imperfections de l’âme peut être transformé dans les plus grandes joies et bonheur par la prière à Dieu pour le déversement de Son Amour dans l’âme. Tel est le sens de notre église, et la foi dans l’Église et dans mes paroles apporteront la paix et le bonheur de l’âme et dans la relation délicate et sensible entre mari et femme.

Adultère

Je tiens également à réaffirmer ma position par rapport à l’adultère dans la relation conjugale. Dans les lois mosaïques, l’adultère, pour une femme, était passible de la lapidation et dans les premiers temps d’existence des Hébreux et y compris lors des conditions non résolues des Juges, cette peine a été appliquée. Cependant la brutalité primitive impliquée a été reconnue au cours du temps par un peuple dont l’humanité est attestée par leur rejet du sacrifice humain, et tous les obstacles imaginables ont été mis en place pour bloquer l’application de la peine capitale, et les maris se sont en général tournés vers le divorce comme punition pour cette infraction. En fait, la loi talmudique déclare: « Une femme qui a commis l’adultère doit être divorcée » (Kithubah 111, verset 5).

Lorsque les scribes et certains des Pharisiens avec qui je me disputais à Jérusalem (Jean 8:3), sont venus à moi avec une femme adultère, ils ne sont pas venus avec l’intention de la lapider, car cela était maintenant une chose du passé, comme les lois talmudiques le prouvent, mais ils sont venus pour tester mon jugement, pour voir en quoi ma décision serait différente de celle de Moïse. Le Nouveau Testament déclare que: « Ils disaient cela pour l’éprouver, afin de pouvoir l’accuser » (Jean 8:6). Car, si je me déclarais contre la lapidation, ils m’accuseraient d’enfreindre la loi mosaïque, et si je confirmais la loi mosaïque, ils m’accuseraient d’inhumanité, incompatible avec le pardon divin de Dieu, et un imposteur brutal. L’Évangile de Jean ne mentionne pas leurs motivations, mais je sava(is ce qui était dans leur esprit et j’ai pris la décision que Jean a enregistrée : « Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle ». (Jean 8:7)

Et cela continue d’être ma position sur l’adultère. Les êtres humains se trompent, et c’est la raison pour laquelle Dieu a rendu Son Amour disponible à l’humanité, pour leur permettre de se libérer du péché et de l’erreur. Il n’y a pas de péché qui est impardonnable, sauf celui contre l’Esprit Saint, le péché de refuser de permettre à l’Esprit Saint d’apporter l’Amour Divin de Dieu dans l’âme de l’homme. Par conséquent, c’est ma volonté, comme venant de la Volonté du Père, et cela réaffirme ce que je l’ai dit dans le Sermon mentionné ci-dessus sur le divorce, à savoir que l’adultère

est considéré comme un péché pardonnable et qu’il ne pas être obligatoirement une cause de divorce, comme les enseignements du Talmud et les chrétiens le déclarent. Comme je l’ai expliqué dans ce sermon, la phrase «sauf pour adultère» (Mathieu:16) a été insérée ultérieurement par un écrivain, je ne l’ai jamais prononcée et elle n’a jamais représenté les vues de l’un de mes apôtres.

Contraception

Encore une fois, je tiens à considérer le contrôle des naissances. Dans l’Ancien Testament Onan 3 a été soupçonné d’avoir été puni par Dieu pour avoir refusé de féconder une femme qui était devenue sa femme par un mariage léviratique. Cela s’est produit à une époque barbare où la vie était précaire, la mort était très fréquente en raison des guerres et des maladies. Les Hébreux avaient besoin de chaque naissance afin de garder leur communauté en vie contre les ravages des ennemis humains et naturels et l’action d’Onan de répandre sa semence sur le sol fut considérée comme un crime contre le peuple Hébreu.

A votre époque, alors que le taux de natalité est en expansion, à un rythme qui peut, dans le temps, produire de grands troubles sur la terre parce que la population peut dépasser la productivité, l’acte d’Onan est considéré, par de nombreux groupes religieux, comme une forme de contrôle des naissances ou, à défaut, une expression sexuelle insatisfaisante, mais certainement pas un crime contre le groupe national. L’Église Catholique s’est servie du passage à propos d’Onan comme preuve de la colère et la désapprobation du contrôle des naissances par Dieu, mais selon d’autres points de vue de l’Église, certains passages ont été sélectionnés dans l’Ancien Testament, sans pensée, connaissance ou référence au problème qui leur a donné naissance, ou aux événements et développements historiques, ou les principes sous-jacents impliqués. Dans les temps anciens, la situation pour la survie humaine exigeait que la naissance soit en accord avec le point de vue religieux, alors que la situation actuelle exige un abaissement du taux de natalité pour éviter un terrible Holocauste afin de faire la place à d’autres générations.

L’Église Catholique considère comme un péché la prévention de la naissance par l’utilisation de tout moyen artificiel mécanique ou par usage d’un produit chimique. Ils sont opposés à toute forme de contrôle des naissances, qu’elle considère comme une violation du but naturel des rapports sexuels. Elle fait, cependant, une distinction, entre cette méthode et la méthode naturelle périodique qui utilise la connaissance pour connaître le moment où la conception n’est pas susceptible de se produire. Ils ne réalisent pas, ou ne veulent pas se rendre compte, que la pratique de cette méthode naturelle périodique a la même intention et but que l’utilisation d’un contraceptif, et que les résultats sont identiques. C’est un non-sens ou un simple pinaillage et de facto une couverture afin de permettre aux fidèles de prévenir la conception et dans le même temps à l’église de sauver la face, car l’Église, comme constituée, ne peut pas avouer être dans l’erreur, bien qu’elle soit très consciente que cette façon d’imposer des normes est simplement un échec. Je tiens également à préciser que, si le but naturel des rapports sexuels est, bien entendu, de perpétuer la race, ce désir naturel ressurgit si souvent chez l’homme, que si le caractère mortel, juridique, économiques ou d’autres restrictions n’avaient pas été placées sur cette fonction, la grossesse serait la condition constante et le destin de la condition féminine. Il est pertinent de préciser que, dans cet aspect de la vie, l’homme naturel, comme toutes les développements naturels, participe de façon naturelle à assurer sa propagation, une dépense débauchée des organismes, pour la reproduction, comme en témoignent toutes les formes d’organismes vivants, y compris chez les plantes, et chez l’homme lui-même, où une grande quantité de spermatozoïdes est perdue même lorsqu’une cellule individuelle est la source de la conception..

Il faut aussi considérer que l’union sexuelle n’a pas besoin d’être seulement réservée à l’engendrement des enfants, mais, sur un niveau plus élevé, elle est comme l’accomplissement de l’expression de l’amour entre deux personnes. Par leur mariage légitime ces personnes font connaître cet amour à la communauté, les bienfaits physiques et psychologiques issus de leurs actes

d’union, où la propagation n’est pas du tout impliquée, mais fait partie intégrante de cette relation plus élevée du mariage.

Le contrôle des naissances n’est pas, par conséquent, un désir impudique et une perversion sexuelle comme il est indiqué, à tort, par les porte-paroles des Catholiques, mais un exercice très légitime du Libre Arbitre donné, entre personnes mariées, à l’homme par le Père.

Ce Libre Arbitre est un grand cadeau de Dieu, Il laisse l’engendrement des enfants être un acte volontaire des personnes mariées et l’une des fonctions principales de ce Libre Arbitre.

Cependant, si une des parties contractantes, conçoit le mariage sans aucune intention d’avoir des enfants, l’autre partie peut alors avoir recours aux autorités compétentes afin que le mariage soit annulé.

J’affirme donc, maintenant, que je suis en faveur de, et je supporte fortement, la déclaration de la Conférence de Lambeth de 1958, représentant les Églises anglicanes, et déclarant que la responsabilité de décider du nombre et de la fréquence des enfants a été posée partout par Dieu sur la conscience des parents.

Je suis également d’accord avec la 171ème assemblée des Églises Presbytériennes Unies qui s’est tenue en 1959 et qui a approuvé le contrôle des naissances et je souhaite également me référer à la déclaration faite par l’évêque James A Pike du diocèse épiscopal de Californie, au fait que les Lois de l’État, qui empêchent les protestants et autres non-catholiques d’obtenir l’information du planning familial, sont une violation du principe de la liberté religieuse. En effet je dis qu’elles sont une violation du libre arbitre donné comme un cadeau par Dieu à l’humanité. Les législateurs qui rigoureusement supportent ces lois pour porter préjudice à leurs semblables sont coupables d’agression contre la volonté de Dieu et contre l’humanité, devront éventuellement payer la pénalité de leurs méfaits dans le monde des esprits, tout comme d’autres, dans les siècles passés, et avec une méthode plus brutale, ont payé, et certains payent encore, pour leurs infractions à travers le travail de la loi de compensation.

Avortement

Enfin, je tiens à considérer l’avortement. Cet acte ne se contente pas d’empêcher la conception, mais détruit la vie de l’enfant à naître. L’avortement est un grand péché lorsqu’il est pratiqué dans un but de confort économique ou social pour prévenir la naissance lorsque la conception a eu lieu par ignorance ou par orgueil pour empêcher le remodelage de la silhouette féminine. Je crois, avec l’église catholique, qu’il s’agit d’un crime. Cependant, lorsque la vie de la mère est menacée, en raison de malformations structurales ou d’autres difficultés internes, si la grossesse est autorisée à continuer, alors la question se résout à devoir choisir entre la survie de la mère ou celle de l’enfant à naître.

Pour des raisons religieuses et humanitaires, je dis que la femme devra, de préférence à l’enfant à naître, être sauvée, parce que, religieusement parlant, permettre délibérément la mort de la mère est un meurtre, alors que l’enfant à naître n’a pas du tout été dans le monde et ne peut donc pas manquer ce qu’il n’a jamais possédé. Dans un tel cas, la mort de l’enfant peut être vue comme conséquence de l’opération de ces différentes lois qui provoquent la mort par accident ou par maladie, comme un défaut du système génératif de la mère, ou une possible erreur d’appréciation médicale.

En outre, pour des raisons humanitaires, la vie de la mère doit être préservée parce que d’autres vies sont liées avec la sienne, la privation met le mari en difficulté, provoque la dislocation de leur foyer et des autres enfants précédents, si tel était le cas. Elle provoque donc une tragédie hors de proportion par rapport à celle causée par la mort de l’enfant à naître. De plus les défauts organiques peuvent souvent être corrigés et permettre la naissance d’autres enfants en toute sécurité.

D’autre part, un enfant né à travers les sacrifices découle d’un acte cruel et sans cœur, parce qu’un enfant privé de sa mère est un objet pitoyable qu’aucune quantité de rationalisation religieuse

peut compenser. La solitude, le rejet, le désespoir et la brutalité à laquelle cet enfant malheureux est alors habituellement soumis est une expérience terrible à laquelle, si ce choix leur était appliqué, les responsables d’un tel texte ne souhaiteraient pas vraiment être confronté.

Je crois que ces observations sont suffisantes comme lignes directrices pour notre attitude envers le mariage et beaucoup de ses problèmes connexes, et je vais arrêter maintenant en affirmant que je suis:

Jésus de la Bible et Maître des Cieux Célestes.

  1. Ce message n’apparaît pas comme étant un pur message d’un être Céleste et sûrement pas comme un message de notre cher frère Jésus. Il est trop dogmatique, trop politique, et en fait, semble reposer sur de fausses bases. Les messages reçus après celui-ci, indiquent que l’amour entre âmes sœurs n’est pas un problème majeur sur la terre, il ne peut donc pas être une base solide pour une politique sur le divorce. Les messages reçus avant celui-ci indiquent que la raison pour laquelle Jésus s’est opposé au divorce sur la terre est basée sur la prise de conscience que l’Amour Divin peut effectivement réparer une relation sur la terre, en amenant les deux parties à une compréhension et à la pratique de l’amour supérieur. Pour cette raison, nous ne croyons pas que ce message est sain. Il est fort probable que les croyances du médium se sont infiltrées. Dans l’intérêt de l’exactitude historique, nous avons décidé de laisser ce message sur ce site. S’il vous plaît rappelez-vous qu’il appartient à chaque lecteur de discerner la vérité. Nous recommandons la lecture du message de Judas sur ce sujet du divorce. Geoff 3 octobre 2001.

  2. Concile de Trente (1545-47 et 1551_52) le concile œcuménique de l’Eglise Catholique Romaine s’est réuni pour discuter de la réforme généralisée au sein des églises.

  3. Onan, second fils de Juda, par la fille de Shua Cananéens en 1700 Av J.C. C.-B.