Les messages non datés
Écrit sur la forte impression que ce premier message a exercé sur lui
Dr Leslie R. Stone - reçu par James Padgett, Washington, USA.
Avant de recevoir ce message d’Hélène, je dois avouer que je n’avais aucune connaissance de la grande importance d’obtenir la Nouvelle Naissance que Jésus a proclamé à Nicodème. « Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut entrer dans le Royaume de Dieu. »
J’ai été présenté à M. Padgett vers la mi-septembre 1914 par Arthur Colburn, un bon ami à moi à Takoma Park, Maryland, où je venais d’apprendre qu’il avait un don spirituel pour l’écriture automatique.
Ce premier message d’Hélène m’a fait une grande impression, et lorsque je suis arrivé à la maison avec une copie de ce message qui m’avait été donnée par M. Padgett. Je l’ai lu plusieurs fois et j’ai ressenti un ardent désir de la Nouvelle Naissance, en priant le Père avec tous les désirs de mon cœur et de mon âme, et avec une telle intensité, que mon âme s’est ouverte et a laissé entrer l’Amour Divin, en si grande abondance, que mon âme entière semblait fondue par cette lueur chaude d’Amour Divin, et j’ai versé des larmes de joie et de bonheur qui me sont venues au-delà de toute conception. C’est alors que j’ai réalisé que le simple amour naturel, même lorsqu’il est développé dans son état le plus pur, est séparé et distinct de l’Amour Divin. Après cette expérience, j’ai réalisé sans le moindre doute que mon cher frère et ami, James Padgett, recevait les grandes vérités de Jésus et des autres Esprits Célestes. Et comme Jésus l’a écrit depuis lors (lire le message du 02 Décembre 1915, publié das le volume 1, page 38), il ne reviendra plus jamais dans la chair, mais il est revenu sous la forme de ses révélations qui contiennent beaucoup des vérités vitales qu’il a enseignées et qui ont été oubliées après que ses premiers disciples sont morts. St. Luc a écrit 1 au sujet des dirigeants, de la hiérarchie des églises, des ajouts, des émasculations et des interprétations dans les écrits originaux de ceux qui ont déclaré les vérités comme ils les ont entendues du Maître. St Luc s’est également exprimé sur le manque décroissant de compréhension des choses spirituelles et la sagesse croissante de leurs esprits finis et intellects, qui les ont conduits à concevoir un plan de la part de Dieu pour le salut de l’homme. Comme la recopie continuait, les pensées de ceux qui copiaient, ou dictaient, ce plan devinrent plus centrées sur ce plan, les copies furent alors regroupées et examinées, et sans doute modifiées pour être en accord avec ce plan déclaré et, au fur et à mesure que les nouvelles copies étaient faites, elles ont été conçues dans le but de mettre en évidence cet accord.
La Bible a changé et perverti le plan de Dieu pour le salut de l’homme, et a substitué un plan qui est né de la sagesse limitée de ceux qui ont tenté de convaincre l’humanité qu’ils avaient une connaissance de Dieu et de ses desseins quant à la création et la destinée de l’homme.
La Bible contient beaucoup de vérités pour permettre à l’homme d’atteindre le Royaume des Cieux, à condition qu’elles soient correctement comprises et appliquées, mais il y a tant de choses enseignées comme des vérités qui sont exactement le contraire de la vérité, et qui ne comprennent pas la volonté de Dieu, par rapport à l’homme, et cela rend difficile aux hommes de discerner et appliquer les vérités et les destinées qui doivent être les leurs selon qu’ils obéissent ou non cette volonté.
Pour terminer, je voudrais dire qu’après avoir lu et étudié les nombreuses vérités vitales contenues dans les « Messages de Jésus et des Esprits Célestes » (publiés en français sus le titre « Nouvelles Révélations de Jésus de Nazareth ») je suis convaincu, sans le moindre doute, que ces messages que je viens de mentionner sont les plus grandes et les plus importantes vérités qui aient jamais été données au monde depuis que Jésus les a enseignées il y a presque 2.000 ans.
Leslie R. Stone.
Lire le message de St Luc « Quels sont les faits qui prouvent l’authenticité de la Bible », dans le Volume 1, 1ère édition française, page 142. (G.J.C.)↩