Par ordre Chronologique 1920-1922
Jésus voulait que M. Padgett et le Dr Stone sachent qu’il était présent durant leur conversation sur les choses spirituelles
Jésus - reçu par James Padgett le 19 Juillet 1920, Washington, USA.
C’est moi, Jésus.
Permettez-moi d’écrire quelques lignes, de voir que vous êtes en meilleure condition ce soir et de sentir que vous aimeriez avoir de mes nouvelles. Eh bien, mon cher frère, vous devez savoir que nous sommes toujours anxieux et prêts à écrire, et c’est seulement parce que votre état est tel que nous ne pouvons pas former le rapport qui nous permet de venir vers vous et d’exprimer nos pensées.
J’étais avec vous ce soir alors que vous et votre ami (Dr Leslie Stone) discutiez des choses spirituelles du futur, et j’ai vu qu’un nouveau réveil avait pris place dans votre âme et j’ai été très heureux qu’il en soit ainsi. Il est inutile pour nous d’essayer de communiquer quand vous n’êtes pas en condition, car vous ne comprendriez pas exactement ce que nous désirons transmettre, même si nous pouvions transmettre nos pensées. Dans le simple acte physique de l’écriture, vous devez avoir un développement de l’âme ou vous ouvrir aux vérités qui sont les nôtres et qui deviennent les vôtres lorsque vous êtes en syntonie pour les recevoir.
Je vous parlerai d’un fait qui peut vous être utile à tous les deux, à savoir que plusieurs de vos amis esprits vous entourent, sont toujours prêts à vous aider et à vous informer de leur amour. Il ne s’agit pas seulement de vous assurer que vous êtes très rarement seuls, mais de vous faire comprendre que ce n’est que de vous-même que dépendent les paroles d’amour de ces esprits pour vous faire connaître, consciemment, qu’ils sont présents et ont des pensées salutaires. Rien de frivole ou d’immatériel à la croissance de votre âme, mais toujours ce qui vous fera savoir qu’ils sont des vrais, réfléchis et amis affectueux.
Très bientôt, je reviendrai et j’écrirai de nouveau sur les grandes vérités vitales du Père que l’homme doit nécessairement saisir et comprendre. Gardez votre foi et priez le Père, et demandez une effusion toujours plus grande de cet amour, et vous serez comme l’homme qui, à la dérive en mer, se rend compte qu’autour de lui sont ces choses qui le sauveront et le ramèneront en sécurité sur la rive. Je n’écrirai pas plus maintenant. Bonne nuit, et que Dieu vous bénisse tous les deux.
Votre frère et ami, Jésus.