Par ordre Chronologique 1918

Écrit sur l’ignorance des prédicateurs d’expliquer la Vérité de l’Évangile

Hélène Padgett - reçu par James Padgett le 28 Avril 1918, Washington, USA.

C’est moi, Hélène. Je suis ta vraie et bien-aimée Hélène.

Eh bien, mon cher, j’ai passé beaucoup de temps avec toi aujourd’hui et je sais à quel point tu as ressenti et expérimenté, dans ton âme, un bonheur venant des pensées que tu avais en référence aux choses de l’âme.

Je n’essaierai pas maintenant de commenter l’un ou l’autre des sermons que tu as entendu. Mais je sais exactement ce que tu as pensé et tes pensées étaient comme mes pensées. C’est tellement important mais triste que les prédicateurs n’aient pas eu plus d’informations sur la vérité afin qu’ils puissent la partager avec leurs auditeurs.

Ce soir, le Maître était avec toi, a écouté la conférence et t’a impressionné par les pensées que tu as eues. Il aurait aimé être en mesure de prédire au prédicateur exactement son avenir. Il est un représentant, comme il le prétend, des enseignements Chrétiens, avec le devoir de partager ces enseignements à son peuple, mais il ne l’a pas fait. Il est pitoyable qu’une telle condition d’ignorance de la vérité existe parmi les ministres de l’Évangile. Mais il en est ainsi et aucune aide ne peut apparemment leur être offerte jusqu’à ce que les vérités que vous recevez soient publiées et diffusées parmi eux.

Le Maître aurait écrit ce soir si les circonstances avaient été tout à fait favorables, mais elles ne l’étaient pas et il viendra très bientôt communiquer. Je n’écrirai plus maintenant. Alors, mon cher, aime-moi et prie le Père pour Son Amour. Bonne nuit.

Ta vraie et bien-aimée.

Hélène.