Par ordre Chronologique 1918

Hélène était également présente aux services du Révérend William Sunday avec beaucoup d’autres personnes, y compris son tuteur spécial, Jean, et elle est heureuse que Jésus ait pu établir de bonnes relations avec son mari 1

Hélène Padget - reçu par James Padgett le 23 Février 1918, Washington, USA.

C’est moi, ta vraie et bien-aimée Hélène.

Eh bien, mon cher mari, je suis si heureuse que le Maître t’ait écrit, et que le rapport ait été rétabli afin qu’il puisse continuer à délivrer ses messages, car, comme il l’a dit ; eux, les esprits, sont tous très désireux de faire le travail.

J’étais avec toi, ce soir et, à côté de moi, il y avait le Maître et ton tuteur particulier, Jean, et nous observions tous les impressions que les prédicateurs avaient faites dans ton esprit et voyions que ce qu’il disait, qui était contraire à la vérité que tu avais reçue, ne remettait pas en cause tes convictions, sinon que tu voulais pouvoir lui parler de ses erreurs. Je ne m’étendrai pas davantage sur ce sujet, car le Maître t’a écrit en détail à ce propos, et tu réalises qu’il corrobore ce que je t’ai dit récemment au sujet des bienfaits exercés par le prédicateur.

Je suis heureuse que tu sois en bien meilleure condition d’âme et que tu puisses réaliser de plus en plus l’existence de l’amour dans ton âme et la réalité de ta proximité accrue avec le Père. Cela nous rend tous très heureux, et nous savons que tu pourras maintenant faire ton travail avec une plus grande rapidité et y récolter un bonheur merveilleux. Continue à prier le Père, et tourne tes pensées vers ces choses spirituelles, et pense à la grande responsabilité qui pèse sur tes épaules.

Prochainement, je viendrai t’écrire une très longue lettre d’amour, et je sais que tu ressentiras cet amour qui t’entoure en grande abondance. Beaucoup d’esprits sont ici ce soir et se réjouissent que le rapport ait été rétabli. Je t’aime comme tu le sais et je veux que tu m’aimes, et tu ne seras pas plus heureux que moi quand tu prendras possession de l’environnement que tu désires tel que tu le dépeins si souvent dans ton esprit. Aies la foi et tu ne seras pas déçu, et tu n’auras pas à craindre le jugement qui vient à tous les hommes après la mort. Je n’écrirai pas plus maintenant. Puisses-tu être plus heureux au fil des jours. Bonne nuit.

Ta vraie et bien-aimée, Hélène.

  1. Ce message est publié dans le Volume II page 390 et dans le Volume III page 405. Pour plus de détails, vous pouvez consulter, en anglais, cette page