Par ordre Chronologique 1918

Hélène Padgett confirme les progrès de leur fille Nita et de la vérité au sujet de la seconde venue de Jésus

Hélène Padgett - reçu par James Padgett le 29 Décembre 1918, Washington, USA.

C’est moi, ta vraie et bien-aimée Hélène.

Eh bien, mon cher, je suis heureux que tu ais eu le message de Jean, car je vois que tu es impatient de recevoir une explication détaillée de la vérité de la seconde venue du Maître afin que, non seulement toi, mais le monde qui lit ces messages puisse comprendre. Jean viendra bientôt – tout dépend de toi.

Eh bien, notre Bébé était si heureuse qu’elle ait pu t’écrire et te dire combien elle t’aime, comme elle est heureuse et avec quelle rapidité elle progresse. Elle était un peu déçue de ne pas pouvoir écrire, mais comme elle comprend la raison et elle a accepté, elle a dit qu’elle attendrait. Elle progresse très vite et devient si belle que l’amour remplit son âme. Tu dois penser à elle et l’aimer très fort.

J’étais avec toi ce soir à l’église et j’ai vu quelles impressions le sermon t’a faites, et comme tu as senti que tu aimerais dire la vérité au prédicateur et l’aider à revêtir le costume de mariage. Eh bien, nous devrons attendre. Sa mère prie pour lui et essaie de l’impressionner avec la vérité, mais ses vues orthodoxes sont trop fermement ancrées pour qu’on puisse l’impressionner en ce moment ; mais un jour il apprendra la vérité. Eh bien, mon cher, tu as eu une autre expérience heureuse aujourd’hui et ton âme a été très favorisée par tes désirs d’Amour du Père. Continue seulement à prier et tu réaliseras tes désirs, et tu recevras les messages – car beaucoup d’esprits sont ici, attendant de pouvoir communiquer.

Eh bien, nous y avons pensé, et nous en avons conclu qu’il valait mieux limiter ton travail aux messages supérieurs, d’autant plus que le travail que tu as accompli parmi eux porte beaucoup de fruits, et par conséquent les esprits d’amour sont capables d’entrer en communication avec beaucoup des esprits obscurs qui écoutent maintenant ce que nous voulons leur dire. Ceux que tu as aidé travaillent avec succès parmi les esprits obscurs. Eh bien, mon cher, je vais maintenant m’arrêter.

Aime-moi, crois et prie. Bonne nuit.

Ta vraie et bien-aimée, Hélène.