Par ordre Chronologique 1918
Hélène Padgett commente St Jean qui n’a pas pu terminer son message ainsi que les prédictions des deux auteurs allemands au sujet de la fin prochaine de la guerre
Hélène Padgett - reçu par James Padgett le 22 Janvier 1918 1, Washington, USA.
C’est moi, ta vraie et bien-aimée Hélène.
Chéri, tu es un peu fatigué et tu ferais mieux de ne pas écrire plus ce soir. Saint Jean t’a écrit 2 et a été plutôt déçu qu’il n’ait pas pu terminer son message, mais il a vu la condition qui t’entoure et, comme l’aimant Jean, il t’a écrit comme il l’a fait.
Ta condition spirituelle est bien meilleure et ton expérience de cet après-midi t’a fait beaucoup de bien car elle t’a fait tourner tes pensées vers les vérités spirituelles du Père et a apporté; dans ton âme, davantage d’amour.
Les deux Allemands 3 qui t’ont écrit étaient sérieux et ont exprimé honnêtement ce qu’ils pensaient, et beaucoup d’esprits très intéressés par la guerre font la même prédiction que ces deux-là quant à sa fin et aux causes de celle-ci. 4
Je n’écrirai pas plus et te conseille d’aller te coucher très vite et de te réchauffer. Aime-moi, prie et aie la foi.
Bonne nuit, ta vraie et bien-aimée Hélène.
Date déduite de la tablette. Cependant cette entrée n’était pas présente dans la tablette (journal quotidien de James Padgett).↩ Le message de Jean auquel Hélène se réfère n’a pas été publié. Il n’est connu que par sa mention dans la tablette (journal quotidien de James Padgett)↩ L’un deux était Frédéric III - deuxième empereur Allemand. L’autre était Bismark qui est mentionné dans la tablette mais qui n’a pas été publié.↩ Les principaux messages relatifs à la première guerre mondiale sont disponibles par l’intermédiaire de ce lien.↩