Par ordre Chronologique 1917
Dit que St Jacques s’intéresse particulièrement à lui et fait tout ce qui est en son pouvoir pour l’aider à progresser 1
Mary Kennedy - reçu par James Padgett le 13 Mai 1917, Washington, USA.
C’est moi, Mary Kennedy.
Je suis ici et je ne laisserai pas mon cher garçon (le Dr Stone) être déçu, car il ne demande qu’à avoir de mes nouvelles et avait presque abandonné tout espoir d’en avoir ; mais il doit savoir que je ne partirais pas sans qu’il en ait eu (de mes nouvelles). Eh bien, je suis vraiment heureuse de pouvoir lui écrire une fois encore car cela me fait autant de bien de lui écrire que je sais que cela lui fait d’avoir de mes nouvelles, particulièrement lorsque nous sommes tous les deux si désireux de savoir comment va l’autre. Vous devez savoir, bien sûr, comment il va, mais il ne peut deviner comment je vais, sauf pour une chose, et c’est que je l’aime de tout mon cœur et de toute mon âme.
Je progresse sans cesse et je l’aime d’autant plus que je reçois cet Amour Divin en mon âme. Cependant je ne cesse de vouloir être avec lui autant que le permet l’accomplissement de mon travail, même si je dois quitter la sphère de la grandeur et de la beauté et descendre au plan obscur qui offre un tel contraste. Cependant l’amour rend toutes choses belles et nos yeux sont très largement fermés aux choses désagréables lorsque nos cœurs sont si pleins d’amour.
J’ai récemment lu certaines des lettres qui lui ont été écrites et cela m’a donné un grand bonheur de savoir qu’il les a reçues et qu’il les a appréciées, et je veux dire qu’elles étaient vraies et ont été écrites par les esprits qui ont professé les écrire. Je le lui dirai, afin qu’il ne doute pas, car il sent que son âme-sœur ne lui dira pas une contrevérité. Je suis avec lui très souvent en train d’essayer de l’aider, comme il le sait, et il y a d’autres esprits avec lui aussi. Je dois lui dire que Jacques s’intéresse particulièrement à lui et fait tout ce qui est en son pouvoir pour l’aider à se développer de la manière qui lui permettra de faire le travail qui est devant lui. Il ne doit pas penser qu’il n’a pas un travail particulier à faire, car il en a un, et bien qu’il fasse maintenant un travail pour aider les esprits des ténèbres, ce n’est pas le travail. J’aimerais pouvoir lui dire maintenant ce que c’est, mais c’est ceci est dans la discrétion, et le contrôle, des autres esprits supérieurs et je ne voudrais pas divulguer leurs plans, même pour mon amour, bien que j’aimerais pouvoir le faire.
Eh bien, je ne dois pas écrire plus maintenant, car votre femme dit que vous êtes fatigué et que vous ne devez pas écrire plus ce soir. Alors, avec mon amour pour lui et mon amour fraternel pour vous, je vous souhaite une bonne nuit.
Votre sœur en Christ, Mary.
Ce message est doublement publié dans la première édition anglaise de ce volume. la deuxième instance a été supprimée dans cette première édition française.↩