Par ordre Chronologique 1917
Hélène affirme que Jean a écrit et commente la prière pour les choses matérielles
Hélène Padgett - reçu par James Padgett le 25 Avril 1917, Washington, USA.
C’est moi, ta vraie et bien-aimée Hélène.
Eh bien, mon cher, je suis heureuse que Jean t’ait écrit comme il l’a fait, car cela te donnera un aperçu de certains principes concernant le pouvoir des esprits à aider les mortels, que tu n’avais peut-être pas compris auparavant. Ce qu’il a dit est vrai, et je suis heureux qu’il ait écrit.
Il est, peut-être, un peu décevant d’apprendre que les esprits n’ont pas le pouvoir de tout faire, comme les mortels peuvent le supposer, cependant je ne veux pas que tu sous-estimes leurs pouvoirs, car ils ont de grands pouvoirs, même pour les choses matérielles. Bien sûr, ils ne peuvent pas déplacer une maison, ou faire en sorte que les richesses d’un mortel lui soient enlevées et mises à disposition d’un autre, mais ils peuvent utiliser, et utilisent une grande influence, sur les mortels pour les amener à faire des choses physiques que les esprits ne peuvent pas directement faire.
Tes prières ne sont pas futiles, même en ce qui concerne ces choses matérielles qui sont soumises au contrôle des mortels, car ces mêmes mortels sont, dans certaines circonstances, soumis à notre influence, et donc à notre contrôle. Quand nous te promettons qu’une ou plusieurs choses arriveront, nous voulons dire que nous exercerons notre influence sur les mortels de telle manière qu’ils provoqueront ces événements en réponse à celles-ci. Mais tu ne dois pas croire que lorsque nous te promettons quelque chose, cela te viendra naturellement. Nous voulons seulement dire que cela te viendra principalement en raison du travail que nous faisons parmi les mortels.
Nous pouvons voir certaines choses avant qu’elles n’aient une existence dans le monde physique, et nous pouvons t’en parler. Et lorsque nous croyons que certaines choses se produiront, nous te le disons, cependant lorsqu’elles ne se produisent pas, nous sommes tout autant déçus que toi.
Ta vraie et bien-aimée, Hélène.