Par ordre Chronologique 1917
Jésus accepte la suggestion de M. Padgett d’écrire sur l’âme, lorsqu’il sera en meilleure disposition. Jésus informe également M. Padgett que le travail de M. Morgan n’est pas le même que le sien
Jésus - reçu par James Padgett le 16 Mars 1917, Washington, USA.
C’est moi, Jésus.
Gardez votre courage et croyez, et toutes les choses que j’ai promises vous arriveront, et vous ne serez pas déçus. Vous êtes maintenant en meilleure condition que vous ne l’avez été, et bientôt je viendrai écrire un autre message ; et comme je vois que vous pensez que mon message sur la nature de Dieu ferait mieux d’être réécrit, je prendrai ce thème pour mon sujet. Oui, je comprends, et c’est mon désir de réécrire le message. Comme vous êtes en meilleure condition pour le recevoir que lorsque je l’ai écrit auparavant, je sais qu’il sera très satisfaisant vis à vis des objectifs pour lesquels il a été écrit.
Alors, comme je l’ai dit, croyez-moi, et je ne vous laisserai pas seuls ou ne manquerai pas à ma promesse. Eh bien, lorsque vous m’avez suggéré d’écrire sur ce sujet (l’âme), vous n’étiez pas suffisamment réceptif pour recevoir le message sous la forme et dans le sens que je voulais lui donner. Il est très difficile d’écrire sur ce sujet et je voulais que vous soyez dans la meilleure condition possible. Je suis satisfait de la manière dont vous l’avez reçu et si je trouve qu’il nécessite une modification, je la ferai avant que vous ne publiiez le livre.
Oui, je sais, et vous serez bientôt dans cet état, et je sais alors que le travail avancera plus rapidement. Oui, comme vous le dites, le monde est prêt à recevoir ces vérités, et les gens aspirent à une certaine connaissance qui leur montrera le vrai chemin vers le Père.
Je suis désolé, moi aussi, mais il (Eugène Morgan) doit attendre un peu. Il a été sélectionné, et sa mission est définie, et cela ne fait aucune différence qu’il reçoive ou non des messages 1. Cela ne fait pas partie de son travail dans le grand plan, et il ne doit pas laisser sa foi lui faire défaut, car son travail sera merveilleux, et un travail pour lequel beaucoup de personnes dans le monde donneraient leur vie, comme on le dit, pour être sélectionnées. Son travail sera très important et il se prépare, en dépit de la déception dont vous parlez quant aux choses matérielles ; et je lui dis avec l’autorité de celui qui sait, qu’il doit croire et attendre et prier, et il ne sera pas déçu ; car nous n’abandonnons jamais les nôtres qui nous font confiance.
Eh bien, je dois m’arrêter maintenant, mais souvenez-vous de ce que j’ai dit, et dites à vos amis que je suis leur frère et leur ami, et qu’ils sont très proches et très chers à moi, et à mes élus ; et dans le Royaume de mon Père, leurs places ne seront pas occupées par d’autres.
Alors, avec mon amour, je vous souhaite une bonne nuit.
Votre frère et ami, Jésus.
Cela faisait référence aux messages officiels comme ceux que M. Padgett avait obtenus. (Jean Paul Gibsons)↩