Par ordre Chronologique 1917
Mary Kennedy,âme sœur du Dr Leslie Stone, fait référence à un message écrit par l’apôtre Jean
Mary Kennedy - reçu par James Padgett le 6 Février 1917, Washington, USA.
(M. Padgett a suggéré au Dr Stone de sortir et de prendre un café.)
Permettez-moi de vous dire que vous pensez plus à votre café qu’à avoir de nos nouvelles, et nous ne sommes pas du tout flattées.
(M. Padgett a ensuite dit qu’il voulait dire après le message.)
Eh bien, pardonnez-moi, car cela donne un sens nouveau à vos remarques, mais bien sûr, je ne faisais que plaisanter, car je sais que vous préférez nous entendre plutôt que de boire votre café ou de manger votre tarte, car nous allons parfois avec vous dans la salle à manger afin de vous voir manger avec le Docteur, et nous essayons de nous convaincre que nous mangeons avec vous.
Eh bien, vous vous demandez qui est-ce et, si je n’écrivais pas, je tirerais l’oreille de ce cher garçon pour qu’il puisse vous dire qui est ici. J’ai pensé que je pourrais, ce soir, écrire quelques mots, car Hélène dit que pour le bien de la paix, je devrais le faire. J’ai été très anxieuse d’écrire, et depuis que Jean vous a écrit comme il l’a fait, je suis plus anxieuse que jamais, car ses affirmations sont si importantes que je sens que je dois dire à Leslie que c’est vraiment Jean qui a écrit. Ce qu’il a écrit avait l’autorité d’un esprit presque Divin, oui, vraiment Divin, car il fait partie des Anges Divins des plus hautes sphères. Je suis tellement désireuse que Leslie croie ce message de Jean que je pense que même ma confirmation peut l’aider à croire. Et je dois lui dire en outre que j’ai entendu le Maître dire que lui, Leslie, a été sélectionné pour ce travail, et que le pouvoir et les autres dons lui appartiendront et lui permettront de faire ce travail ; et quelle merveilleuse chose tout cela est.
J’avais l’intention de lui écrire une sorte de lettre d’amour ce soir pour l’occasion, mais ce que Jean a écrit est tellement plus important que je vais reporter mes expressions d’amour et de toute mon âme essayer de lui faire croire, et ne jamais douter, du décret qui a été prononcé. Mon âme-sœur a été choisie par le grand Maître, et je suis si heureuse, et je remercie Dieu qu’une telle chose soit arrivée.
Je suis sa vraie Mary – son éternelle âme-sœur – et je sais que lorsqu’il me rejoindra, les résultats de son travail feront de lui l’un des esprits les plus brillants, non seulement à cause du bien qu’il a fait aux autres, mais parce qu’en accomplissant ce travail, il recevra alors dans son âme une telle quantité de l’Amour Divin qu’il sera capable de rejoindre les Sphères Supérieures, et être ainsi le plus tôt possible avec sa Mary.
Je l’aime de tout mon cœur et de toute mon âme, et j’attends patiemment le temps à venir où la grande consommation de notre amour nous réunira en vérité.
Je ne dois pas écrire davantage. Alors, je vous souhaite une bonne nuit, votre sœur et sa vraie, Mary.