Par ordre Chronologique 1917
Hélène Padgett est désolée de ne pouvoir permettre à un ancien ami de M. Padgett d’écrire mais est heureuse avec la lettre de Jésus pour lui et pour sa mère
Hélène Padgett - reçu par James Padgett le 13 Février 1917, Washington, USA.
C’est moi, Hélène.
Eh bien, il y avait un esprit qui était très impatient d’écrire et j’étais disposé à le laisser faire, mais comme tu es fatigué et que tu n’es pas disposé à ce que d’autres écrivent ce soir, je lui ai dit qu’il devrait reporter son écriture à une autre époque.
[Qui était-ce ?]
C’était ton pauvre ami William Perry et il fut tellement déçu de ne pas pouvoir écrire. Il est encore dans un état très triste et très sombre et ne semble pas être en mesure de vraiment sortir de ses souffrances. Nous avons essayé de l’aider mais ses croyances en une souffrance éternelle le maintiennent toujours dans son état sombre et souffrant. Je crois qu’une conversation avec toi peut lui faire du bien. Il attend toujours ici. Il dit qu’il viendra et je sais qu’il va attendre avec impatience le moment opportun.
Eh bien, mon cher, je suis heureuse que le Maître t’ait écrit ce soir une telle lettre d’amour et d’encouragement car elle te fera du bien. Essaie de suivre ses conseils, en particulier prie davantage le Père. Nous sommes tous si impatients que tu retrouves la condition dont le Maître a parlé, car cela t’aidera beaucoup dans ton propre développement.
Je t’aime comme tu le sais de tout mon cœur et de toute mon âme, ainsi que ta chère mère, qui t’a écrit. Elle était si heureuse de le faire et c’est un bel esprit, et elle t’a dit que nous avons toutes les deux progressé et que nous sommes plus près de la source de l’Amour de Dieu et plus nous approchons, plus il semble plus réel et divin. Je n’écrirai plus maintenant car il est tard.
Eh bien, je n’oublierai pas et bientôt j’écrirai et tu dois être convaincu que je n’ai pas oublié. Eh bien, nous avons alors pensé qu’il valait mieux ne pas écrire alors, pour la raison que je t’ai dit, mais un peu plus tard, en début de soirée, lorsque tu seras prêt, nous t’écrirons, même si nous devons apparaître un peu méchants à ces mauvais esprits, nous allons leur expliquer et je pense qu’ils seront rassurés.
Eh bien, mon cher, sent que je te suis très fidèle dans mon amour et ne laisse pas ton esprit être troublé, mais aime-moi de tout ton cœur et tu réaliseras que je suis, ta vraie et bien-aimée, Hélène.