Par ordre Chronologique 1917
Jésus n’avait aucun pasteur sur la terre : La déclaration de infaillibilité du Pape de l’Église Catholique est une supercherie et un piège - la vénération de Jésus comme Dieu est blasphématoire et une vérité dangereuse
Jésus - reçu par James Padgett le 26 Décembre 1917, Washington, USA.
C’est moi, Jésus.
Eh bien, mon cher frère, je suis heureux de constater que vous êtes en bien meilleure condition, et je sais que très bientôt je pourrai reprendre la transmission de mes messages.
Eh bien, je n’ai pas de pasteur (vicar dans le texte originel) sur terre (en réponse à la question de M. Padgett). En premier lieu, je ne suis pas Dieu, mais un simple esprit – un enfant de Dieu – qui L’adore avec toute la dévotion de mon âme, priant pour une effusion accrue de Son Amour et pour une unité complète avec Lui, avec le désir de progresser éternellement dans le développement de mon âme.
En second lieu, le Pape est un simple homme, et il ne peut représenter Dieu que dans la mesure où il a dans sa propre âme l’Amour Divin et le développement de l’âme qui en découle. Le simple fait qu’il soit le chef de l’Église Catholique ne lui donne pas de plus grand privilège, ni de plus grande mission pour représenter Dieu sur terre, que ce que possède tout autre homme ayant le même degré de développement de l’âme. Sa prétendue infaillibilité est une supercherie et un piège, il est tout autant sujet au péché, et pécheur, même en tant que pape de l’Église, que tout autre mortel. Cette prétention, qui est un attribut n’appartenant qu’à Dieu, sera l’un des péchés pour lesquels il souffrira beaucoup lorsqu’il viendra dans le monde des esprits et que son âme sera ouverte à la vérité.
J’ai l’intention, à un moment donné, de vous écrire en détail au sujet de l’Église Catholique, de ses dogmes, croyances et enseignements erronés, et de son destin. Mais je vous dirai ceci : le fait de m’adorer en tant que Dieu est un blasphème, et une chose si blasphématoire que je ne tiens pas à rester sur le plan terrestre et à entendre les prières de ces Chrétiens égarés 1. Je sais que cela paraîtra, pour beaucoup, surprenant et peu Chrétien, et qu’ils continueront à maintenir en leur foi en moi en tant que Dieu, et aussi à m’adorer. Mais c’est une contrevérité très néfaste, et ces personnes devront s’en rendre compte tôt ou tard, dans le monde des esprits. Et c’est l’une des erreurs que mes messages visent à éradiquer. Eh bien, mon cher frère, ayez la foi.
Votre frère et ami, Jésus.
Il s’agit d’une référence au culte accru qu’on lui rend à Noël↩