Par ordre Chronologique 1917
Hélène Padgett écrit que Monsieur Padgett recevra l’amour et le pouvoir d’accomplir la grande mission du Maître tout comme les esprits élevés
Hélène Padgett - reçu par James Padgett le 5 Janvier 1917 1, Washington, USA.
C’est moi, Hélène.
Eh bien, mon cher vieux Ned, je suis ici pour t’aimer, t’encourager et te dire que tu dois essayer d’avoir plus de foi et que tu réaliseras bientôt que tu as en toi une inspiration durable qui te permettra de surmonter les obstacles que tu pourras rencontrer.
Je suis heureuse que Jean soit venu et t’ait écrit comme il l’a fait car nous voyons tous l’importance que tu réalises pleinement que l’importance du travail qui t’est confié et la grande importance de recevoir ces vérités que le Maître et les esprits supérieurs t’écriront. Je ne peux pas te dire combien je suis heureuse que tu as été si favorisé et quel grand amour, et quelle force, te seront donnés pour effectuer ce travail.
Ces esprits, si tu pouvais les voir, te surprendraient en te faisant découvrir qu’ils sont les plus grands et les plus développés de tous les esprits de Dieu et qu’ils sont si sérieux sur cette question. Alors essaie d’avoir plus de foi, prie pour plus d’amour et ton âme se développera tellement que tu pourras, dans une certaine mesure, par la perception de ton âme, réaliser quels êtres merveilleux t’entourent, travaillent avec toi et t’aiment. Je suis venue aujourd’hui parce que j’ai senti tes pensées d’amour et tes aspirations couler vers le Père et je sens que tu as besoin que je t’écrive quelques mots d’amour et d’encouragement.
Nous serons avec toi ce soir et tu recevras peut-être de profonds messages de vérité et de consolation pour toi et pour tes compagnons mortels. Rappelle-toi que ton Hélène est avec toi avec tout son amour et son influence et qu’elle est très heureuse quand elle réalise que tu l’aimes tant. Eh bien, tu ne dois pas écrire plus aujourd’hui car cela ne te fera pas, physiquement, du bien. Alors sachant que tu m’aimes, que tu me fais confiance et que tu me veux avec toi, je suis ta vraie et bien-aimée, Hélène.
Cette date a été attribuée à ce message parce qu’il a été publié après le message lié de Jean qui est facilement daté. Cependant, ce message ne mentionne que Jean, et non Samuel et Luc, comme le suggère l’entrée de la tablette (journal quotidien de James Padgett) à cette date. Donc il se peut que la date attribuée à ce message ne soit pas correcte.↩