Par ordre Chronologique 1916

William Stone, père, donne un rapport sur le travail et le développement spirituel de son fils dans sa grande mission choisie par le Maître

William Stone - reçu par James Padgett le 23 Mars 1916, Washington, USA.

Je suis le père.

Je désire écrire juste une ligne, avant que mon fils ne parte. Je suis son père et je veux qu’il sache que je n’ai pas oublié de profiter de toute occasion qui pourrait se présenter pour écrire.

Sa mère est là aussi, et elle lui envoie son amour et désire lui dire qu’elle a entendu le message que Mary lui a écrit, et qu’elle est le petit ange le plus heureux du monde des esprits. Et nous sommes tous heureux et savons que ce qui lui a été dit est vrai. Il ne doit pas douter, même s’il ne peut pas maintenant réaliser la possibilité d’accomplir cette grande mission pour laquelle il a été appelé par le Maître. Lorsque le temps viendra, il sera instruit et aura alors suffisamment de pouvoir pour faire ce travail.

Je dis que nous sommes tous heureux à cause de cette grande faveur. Ta mère dit qu’elle est reconnaissante au-delà de toute expression – que ses prières aient été exaucées de façon si surprenante – qu’elle n’a jamais imaginé un seul instant que son fils aurait été choisi comme instrument pour faire ce travail – qu’elle aurait seulement prié – pour qu’il puisse recevoir cet Amour Divin et devenir un être avec le Père. Et quand cette autre faveur surprenante lui vint à l’esprit, elle se rendit compte que Dieu était très bon pour elle au-delà de toute conception.

Dites à mon garçon qu’il doit croire et faire de son mieux pour accomplir ce travail, que je suis sûr qu’une voie s’ouvrira pour lui permettre d’accomplir ce devoir, car c’est maintenant un devoir.

Je suis très heureux et plus je progresse, plus mon bonheur augmente et la bonté du Père apparaît.

Ses sœurs sont également très heureuses et se réjouissent avec nous tous.

Hier soir, je n’ai pas assisté à la merveilleuse séance dont parle son âme sœur, mais je sais que cela a dû être impressionnant au-delà de toute conception, et je dois dire que je n’ai jamais vu Mary aussi heureuse qu’elle l’est depuis lors.

Je n’écrirai pas plus ce soir.

Je vous remercie et avec amour et estime, je suis, son père, William Stone.