Par ordre Chronologique 1916

Saul S. Henkle : un ami de M. Padgett commente également l’amour entre âmes sœurs

Le Général Henkle - reçu par James Padgett le 23 Mars 1916, Washington, USA.

C’est moi, Saul S. Henkle.

Laissez-moi vous dire un mot, car pendant que vous avez tous vos pensées d’amour qui passent, j’aimerais aussi venir. Je fus votre vieil ami, Saul S. Henkle, et même si je n’étais pas aussi jeune que vous lors de ma vie terrestre, je suis maintenant plus jeune que vous et sans doute plus beau.

Sérieusement, j’ai apprécié d’être ici ce soir et d’écouter les messages que vous avez reçus. Bien sûr, je n’ai jamais connu vos amis spirituels sur terre, mais ici je les ai rencontrés par l’intermédiaire de votre belle épouse, et j’apprécie beaucoup leur compagnie, en particulier celle de Mme Stone, qui est si belle et si pleine d’Amour Divin, et une mère si tendre et si aimante. J’aime aussi beaucoup la petite fille que votre Hélène appelle « Lovesick ». Eh bien, elle est sans aucun doute amoureuse, mais elle n’a pas l’air malade, et elle est tout aussi brillante, belle et heureuse qu’il est possible de l’imaginer. Et elle aime son âme-sœur et n’hésite pas à nous le faire savoir. Comme tous vos amis sont heureux, et comme je suis heureux d’être avec eux !

Ici, il y a des petits cercles d’amis, comme sur terre, avec cependant une différence dans la nature et la disposition de ceux qui forment ces cercles ; et je tiens à dire que votre âme-sœur et celle du Dr. sont deux des petits esprits les plus joyeux que je connaisse.

Oui, je l’ai rencontrée et elle n’est pas très heureuse. Elle a la croyance qui m’a retenu si longtemps, et peu de développement de l’âme. J’ai essayé de l’aider, mais il est difficile de lui faire renoncer au mode de pense qui fut le sien sur terre. Cependant, tôt ou tard, elle découvrira la vérité. Elle n’est pas mon âme-sœur, comme le dit votre femme, et elle semble tout savoir des âmes sœurs. Elle dit qu’elle me dira bientôt qui est la mienne, et j’en serai heureux. Je ne dois pas écrire plus, mais je vous remercie beaucoup pour votre gentillesse.

Votre vieil ami, Général S. Henkle.