Par ordre Chronologique 1916

Saint-Jean avise M. Padgett d’un plan d’indépendance qui sera divulgué en détail à une date ultérieure

St Jean - reçu par James Padgett le 11 Mars 1916, Washington, USA.

C’est moi, Jean.

Permettez-moi d’écrire quelques lignes pour partager quelque chose qui pourrait être important pour vous. Vous vous souvenez que nous vous avons dit à maintes reprises que, à un moment donné, vous seriez en mesure d’accomplir le travail pour lequel vous avez été choisi, d’une manière où toutes les préoccupations d’ordre matériel seraient éliminées de l’existence. Je veux répéter ce soir ces promesses et dire que le moment viendra bientôt où vous serez dans cette condition et que vous serez libres de profiter des opportunités que cette liberté vous offrira. 1

Nous avons été beaucoup avec vous ces derniers temps, exerçant notre influence sur vos pensées spirituelles et essayant de vous aider à vous mettre dans la condition qui vous permettra de recevoir nos messages sans trop de difficultés et (libre ?) des influences de ces choses extérieures. Nous voulons que vous soyez en condition afin que notre travail, et le vôtre, puissent être ainsi effectués. Vous devez faire l’effort de nous aider à vous placer dans cette condition et, si vous le faites, nous vous placerons dans la position qui nous permettra d’atteindre la fin que nous désirons tant.

Je n’écrirai pas plus ce soir, mais je ferai de mon mieux pour vous aider dans vos efforts. Facilitez-vous l’esprit et épargnez tout l’argent que vous pouvez pour tenter de trouver ce succès et nous vous aiderons.

Bien sûr, vous comprenez ce que nous voulons dire et très bientôt viendra un esprit qui vous guidera dans cette affaire et assurera votre succès. Je viendrai un peu plus tard pour vous écrire plus en détail.

Alors faites confiance et croyez et vous ne serez pas déçu. Bonne nuit.

Votre frère en Christ, Jean.

  1. Ce thème du stress financier dans la vie de Padgett surgit régulièrement, et l’issue de ce problème n’est pas connue ou s’il a été résolu de son vivant. (G.J.C.)