Par ordre Chronologique 1916
Corneille parle des grandes audiences qui assistent aux écrits reçus par M Padgett et écoutent ce qui est dit 1
Corneille - reçu par James Padgett le 3 Décembre 1916, Washington, USA.
C’est moi, Corneille (Cornélius).
Je n’écrirai qu’une ligne ou deux, car je vois dans votre état d’esprit que vous êtes anxieux d’étudier la prière que le Maître vous a écrite hier soir. Eh bien, je ne suis pas surpris, car c’est une prière merveilleuse, et une prière qui, lorsqu’elle sera vraiment exprimée au Père, apportera dans votre âme ce Grand Amour qui est la seule chose nécessaire pour vous rendre un avec le Père.
Comme Je vous l’ai déjà dit, je suis l’heureux possesseur de cet Amour, et je sais qu’il est réel et qu’il fait participer l’âme du mortel et l’esprit à l’essence du Père, et permette, en quelque sorte, qu’il devienne Divin lui-même. Je voudrais vous écrire ce soir un message sur certaines des vérités des enseignements des apôtres qui sont très pertinentes et au sujet desquelles le prédicateur a parlé ce soir. J’étais présent, ainsi que de nombreux autres esprits – des presbytériens orthodoxes – et ceux qui ont été libérés de leurs croyances et de leurs croyances erronées sur la vie terrestre.
Vous seriez peut-être surpris si je vous disais le grand nombre d’esprits qui ont écouté le sermon avec intérêt et dans l’attente d’apprendre quelque chose qu’ils pourraient accepter comme vérité. Le prédicateur avait un public d’esprits beaucoup plus nombreux que celui des mortels et, pour un grand nombre d’entre eux, ses enseignements ont été reçus comme ils l’ont été par les mortels qui les écoutaient.
Mais je ne dois plus écrire maintenant. Espérant donc que j’aurai bientôt l’occasion d’écrire, je vous souhaiterai unee bonne nuit.
Votre frère en Christ, Corneille (Premier Chrétien Païen).
Ce message est publié dans le Volume III, à la page 131 et dans le volume IV à la page 69. Pour plus de détails, vous pouvez consulter, en anglais, cette page.↩