Par ordre Chronologique 1916

Priscilla Stone exprime à nouveau son grand amour pour son fils et est très heureuse de voir son âme se développer dans l’Amour du Père ainsi que l’amour de son âme sœur Mary

Priscilla Stone - reçu par James Padgett le 13 Octobre 1916, Washington, USA.

C’est moi, la mère (de Leslie.). C’est moi, la mère du cher garçon, et je désire tellement lui écrire. Lorsque je l’ai entendu parler de son enfance, mon cœur s’est tourné vers lui avec tant d’amour et de nostalgie que j’ai dû faire l’effort de vous informer que je voulais écrire, et je suis si heureuse que vous m’ayez entendue et m’ayez donné cette occasion.

Je suis très heureuse en l’écoutant parler de l’Amour dans son âme et raconter les expériences qu’il a lorsque cet Amour agit dans son âme, car je me rends compte que, en recevant cet Amour, il s’approche de moi, sent mon amour qui l’entoure, et essaie de le voler dans son cœur. C’est celui de sa mère, parfumé avec l’Amour Divin, que je porte dans mon cœur et mon âme et, comme il va vers lui, je sais qu’il doit le ressentir et réaliser un bonheur qu’il n’a pas connu auparavant.

J’aime mon fils plus que je ne peux lui dire. Je l’aimais de l’amour d’une mère sur terre, mais maintenant je l’aime, non seulement de l’amour d’une mère, mais de celui qui surpasse tout amour que toute mère mortelle peut avoir. Je désire qu’il sache que je progresse, que je sais que je suis immortelle, et que le Royaume Céleste est mien, où seul le grand Amour du Père, qui enveloppe tout, est.

Je suis si heureuse lorsque je vois qu’il réalise, dans une certaine mesure, cet Amour, que sa foi grandit de jour en jour, que les péchés et les erreurs qui étaient autrefois les siens le quittent, et qu’à leur place vient ce grand Amour, et que seuls ceux que Dieu a appelés et à qui il a donné Son Amour savent ce que cela signifie.

Je n’écrirai pas plus ce soir, car je suis tellement remplie d’amour que je ne peux pas penser à des choses qui n’y sont pas liées, cependant je dirai que son père progresse également et que j’espère qu’il sera bientôt avec moi. Dites-lui de se rappeler qu’il a l’amour de beaucoup de grands esprits autour de lui, essayant de l’influencer et de tourner de plus en plus ses pensées vers le Père, vers Son amour et Sa bonté merveilleuses.

Je n’oublierai pas de dire qu’il a aussi avec lui l’amour de son âme-soeur, un amour si beau et si pur qu’aucun mortel ne peut comprendre, mais aussi réel que le ciel et aussi profond que la mer. Oui, et pour l’éternité. Je ne pourrais pas avoir une fille plus belle ou plus désirable que sa Mary, et il doit croire qu’elle est un esprit réellement existant qui est assez souvent avec lui, sachant qu’il est à elle pour toujours et qu’un jour elle l’aura avec elle.

Que Dieu bénisse mon fils et le garde à l’abri de tout mal et malheur est la prière la plus sincère de sa mère.

Mère.

M. Padgett et moi discutions de choses spirituelles, et j’ai parlé de mon enfance, puis M. Padgett a entendu la voix de ma mère lui disant qu’elle voulait m’écrire. M. Padgett a ensuite pris le crayon, voici une copie de la lettre :

De Mary Kennedy – 13 Octobre 1916

Vous m’avez entendue et je vous en suis reconnaissante. Je dirai seulement que ce que sa mère a dit de mon profond amour pour lui est vrai. Je sais que je lui ai dit à maintes reprises que je l’aimais, mais je voulais que sa mère le lui dise aussi, car il sait et peut se rendre compte que sa mère était et est un être réel, et qu’il ne doit pas lui venir à l’esprit une ombre ou une pensée quant à son existence réelle. Et je pensais que si seulement elle lui disait que je suis réelle comme elle, il me considérerait dans son âme comme étant sa mère. C’est ce que je voulais dire, et je suis si heureuse de pouvoir le dire. Bonne nuit, mon cher ami, Mary, l’âme-soeur du Docteur.

Note : Mary Kennedy, a écrit immédiatement après ma chère mère, qui a également parlé à M. Padgett qu’elle voulait écrire, elle fut entendue, par clairaudience, par M. Padgett qui a reçu la demande qu’elle voulait écrire. Le message a été écrit automatiquement comme d’habitude. Et M. Padgett et moi avons senti un merveilleux cadeau d’amour. Leslie R. Stone