Par ordre Chronologique 1916

Élie sur les temps où il a vécu sur la terre. Il n’a jamais connu l’Amour Divin jusqu’à ce que Jésus vienne sur la terre et fasse connaître son ré-octroi

Élie - reçu par James Padgett le 1 Octobre 1916, Washington, USA.

C’est moi, Élie.

Je fus un ancien prophète et maintenant je suis un habitant du Ciel Céleste et un enfant immortel du Père. J’étais présent à plusieurs reprises lorsque les esprits vous ont écrit, et j’ai été très intéressé par le travail qu’ils font et par le travail que vous faites. Vous faites un travail merveilleux en aidant les esprits sombres dans leur souffrance et en amenant ces esprits en étroite communion avec les esprits supérieurs qui peuvent leur montrer le chemin de l’Amour du Père.

Je voudrais vous écrire ce soir un long message sur ce qui s’est passé à l’époque où j’ai vécu et sur la connaissance que nous, qui avons été considérés comme des prophètes, avons eu quant à la relation entre Dieu et l’homme et sur certaines expériences avec les esprits des Cieux qui sont venus à nous et nous ont communiqué certaines des vérités du Père. Et je dirai, dans toute notre connaissance de la vérité, que nous n’avons jamais compris que l’Amour Divin du Père se distinguait de l’amour qu’Il accordait à tous les hommes indépendamment de leur recherche de Son Amour et indépendamment du fait qu’ils étaient pécheurs et désobéissants à Ses commandements. Comme je le sais maintenant, nous ne pouvions pas comprendre ce que cet Amour Divin signifiait. Nous ne l’avons jamais possédé car, dans mon temps, et jusqu’à la venue de Jésus, il n’avait pas été donné aux hommes le privilège de le recevoir. Le Père avait retiré ce privilège de l’humanité.

Mais nous avions reçu la connaissance spirituelle de ces choses qui rendraient l’homme meilleur dans sa nature morale et le rapprocheraient du Père dans son amour naturel. Nos efforts visaient à faire comprendre aux gens ces choses et la nécessité de se conformer aux lois morales.

Comme je l’ai dit, je voulais vous écrire un long message, mais il y a quelqu’un d’autre, présent, qui désire écrire et je vais m’arrêter. Mais je reviendrai bientôt et livrerai mon message et, pendant ce temps, je prierai pour vous et essaierai de vous aider dans votre développement d’âme et dans votre travail. Avec mon amour et mes bénédictions, je vous souhaite une bonne nuit.

Votre frère en Christ, Élie.