Par ordre Chronologique 1915 - Deuxième Partie
Jean le Baptiste – le temps est venu pour les Vérités d’être connues afin que l’humanité soit délivrée des fausses croyances
Jean le Baptiste - reçu par James Padgett le 7 Septembre 1915, Washington, USA.
C’est moi, Jean le Baptiste.
Je viens parce que je veux vous encourager à prier et à croire davantage. L’Amour du Père attend que vous remplissiez votre âme au maximum, et les seules choses requises de votre part sont la prière et la foi. Nous sommes tous intéressés par vous et nous voulons que vous soyez dans une condition qui vous permettra de recevoir les messages du Maître, aussi rapidement que possible, car le temps est maintenant venu où ils doivent être donnés à l’humanité. Ils ont commencé leur travail de racheter les hommes des fausses croyances et des doctrines et dogmes erronés. Moi, Jean, je vous le dis, car je peux voir que les hommes aspirent aux vérités de Dieu – des vérités qui retireront des enseignements des guides spirituels toutes les superstitions et les erreurs. De telles vérités qui s’accorderont avec le raisonnement des hommes qui ne sont pas biaisés par des croyances erronées, que ce soit en matière spirituelle ou matérielle.
Je vous dis que ces vérités seront plus faciles à recevoir et à comprendre pour le simple matérialiste que par ceux qui sont liés par les croyances envers les credo et les dogmes inculqués par les églises. Et l’acceptation de cette Nouvelle Révélation des vérités de Dieu sera réalisée par ceux qui n’ont aucune idée préconçue de ce qu’est la nature et la relation de l’homme à Dieu, au sens spirituel, plutôt que par le théologien érudit et le simple fidèle devant les autels des églises qui croient tout ce que leur disent les prêtres et les prédicateurs.
Comme j’étais, à un moment donné, la voix d’un seul cri dans le désert, je suis maintenant la voix de nombreux esprits de Dieu, qui savent que le Maître enseignera les vérités de son Père. Je sais aussi que ces vérités doivent être acceptées par les mortels sur terre, et par les esprits dans le monde spirituel, afin qu’ils puissent recevoir le salut que le Père leur a préparé, et qui, une fois acceptées, réalisées et possédées, leur permettront de participer au bonheur et à l’immortalité que le Père leur a promis.
Je vous ai écrit ainsi ce soir parce que je veux que vous réalisiez plus pleinement, et plus profondément, le travail important pour lequel que le Maître vous a choisi, et aussi la nécessité de continuer ce travail le plus tôt possible. Eh bien, j’ai été intéressé par les nombreux échanges sur ce point, et comment la croyance, d’une façon ou d’une autre, a amené ceux qui se disent chrétiens à former des sectes distinctes. Si seulement ils savaient, ou pouvaient savoir, que cela ne fait pas la moindre différence, pour le salut de leur âme, que Jésus ait été immergé ou aspergé, ils ne laisseraient pas surgir, et se développer, le sentiment amer qui est fréquent dans les discussions à ce sujet.
Mais pour régler ce différend, à la satisfaction de ceux qui pourront lire et croire aux déclarations du livre que vous pourrez publier, je dirai que, lorsque j’ai baptisé Jésus, je suis rentré avec lui dans l’eau, j’ai pris alors l’eau dans mes mains et je l’ai versée sur sa tête – il n’y a pas eu d’immersion.
Comme cette eau était simplement le symbole du lavage du péché et de l’erreur, et n’accomplit pas réellement, pour que les hommes deviennent un avec Dieu, cette grande nécessité, cela ne faisait aucune différence que le destinataire du baptême soit immergé ou aspergé.
Il est étrange que beaucoup d’hommes qui prétendent avoir reçu le pardon de leurs péchés et s’être réconciliés avec Dieu, laissent une chose insignifiante de ce genre causer tant de querelles et de disputes amères.
Je vais maintenant m’arrêter.
Votre frère en Christ, Jean le Baptiste.