Par ordre Chronologique 1915 - Deuxième Partie
A G Riddle est émerveillé après avoir vu Jésus montrer une telle luminosité et puissance
Albert Riddle - reçu par James Padgett le 27 Septembre 1915, Washington, USA.
C’est moi, ton ancien partenaire.
Je n’écrirai que quelques lignes ce soir, car je suis dans un tel état d’émerveillement devant ce qui s’est passé lorsque Jésus t’a écrit hier soir que je ne me sens pas capable de rassembler mes pensées pour une écriture prolongée. Je veux dire que ce qui m’est arrivé a été pour moi la plus grande révélation sur le caractère ou plutôt les attributs de Jésus que j’ai vue depuis que je suis dans le monde des esprits.
Quand il t’a écrit, avec empathie et autorité, il s’est transformé en un tel être de lumière, de gloire et de puissance, qu’aucun de nous ne pouvait regarder son visage, et nous avons dû « tomber sur nos visages » pour masquer l’éclat de sa présence. Je te dis que ce fut une merveilleuse preuve de sa grandeur et de son pouvoir. Je ne l’avais jamais vu vêtu d’un tel éclat et d’une telle puissance. Il a toujours été le plus beau, le plus brillant et le plus magnifique de tous les esprits, mais il ne s’est jamais exprimé si pleinement avant ces manifestations qui nous ont fait penser qu’il devait être un dieu.
Je sais maintenant, comme jamais auparavant, qu’il est le vrai fils de Dieu et qu’il est digne de le suivre et de croire en lui. Quel esprit merveilleux il est. Tout amour, toute puissance et grandeur, et pourtant toute humilité. Une telle combinaison d’attributs que je n’avais imaginer pouvoir jamais exister dans le même esprit.
Eh bien, mon garçon, je ne peux pas en dire beaucoup plus maintenant, sauf que tu me surprends de plus en plus à cause de la grande faveur et des bénédictions que tu as reçues. Nous en sommes tous stupéfaits, mais bien sûr, heureux. Tu dois faire de ton mieux pour faire ce travail et remplir la mission pour laquelle tu as été choisi.
Quel merveilleux Jésus. Je ne peux m’empêcher de penser à lui et à la grandeur de son être. Je suis si heureux de l’avoir vu tel qu’il est apparu lorsqu’il a écrit, parce que j’ai maintenant une certaine conception de ce que doivent être la gloire et la grandeur des Cieux Célestes et de leurs habitants.
Je n’écrirai pas plus cette nuit, car je ne peux maintenant penser à rien, si ce n’est à la gloire du Maître.
Je suis ton ancien partenaire, A. G. Riddle.