Par ordre Chronologique 1915 - Deuxième Partie

Le juge Syrick confirme la beauté d’Hélène

Juge Syrick - reçu par James Padgett le 22 Décembre 1915, Washington, USA.

C’est moi, le juge Syrick.

Eh bien Padgett, j’ai entendu ce que ta femme a dit, et j’aimerais te décrire son apparence, mais je n’ai pas de mots pour le faire.

Elle est une beauté dont tu n’as jamais eu la moindre conception, nonobstant ce qui t’a été écrit, et de ta vision. Mais je te dis ceci, que son apparence est de la plus grande perfection, de même que son expression, tu n’en as jamais vu l’ombre sur terre, et donc, je ne peux t’en donner la moindre idée.

Cependant ses vêtements sont tous d’un blanc éclatant, avec un éclat qui nous éblouit, nous qui la regardons, et son visage – oh, quel beau visage !

Je veux bientôt venir t’écrire une longue lettre. Je te présente mes meilleurs souhaits.

Bonne nuit. Bonne nuit.

Ton ami, Frank D. Syrick