Par ordre Chronologique 1915 - Deuxième Partie
Jean – la vérité sur les Enfers 1
St Jean - reçu par James Padgett le 19 Décembre 1915, Washington, USA.
C’est moi, Jean.
Je veux simplement dire que j’ai écouté le message que vous avez lu ainsi que vos remarques et celles de votre ami, et je pense que vous avez une vraie conception de la vérité sur ces enfers.
Swedenborg vous a donné une véritable description de leurs conditions telles qu’elles existent réellement et Hérode vous a partagé, avec la certitude de l’expérience, les vérités qu’il y a trouvées, et moi, Jean, qui les ai visités dans mes efforts pour apaiser les souffrances des esprits qui les habitent, vous dis que ceux-ci existent comme lieux, avec toute l’obscurité et l’environnement qui font encore plus souffrir les malheureux et infortunés esprits qui s’y trouvent. Je souhaite faire cette déclaration pour que, en ce qui vous concerne, cette question de la réalité de l’enfer puisse être réglée pour toujours.
Je sais que beaucoup de mortels se consolent en croyant, qu’à cause de certaines lois naturelles, il ne peut y avoir d’enfer comme l’enseignent les orthodoxes, et que, par conséquent, ces enfers là n’existent pas. Mais cette conclusion tirée de la prémisse n’est pas correcte. Le simple fait qu’un homme, ou un esprit, ne puisse brûler éternellement et ne jamais être consumé, ne justifie pas que cet esprit ne puisse pas être puni par un environnement qui a une localité fixe.
Non, l’homme ne doit pas se reposer sur la croyance qu’il n’existe pas d’enfer comme Swedenborg l’a décrit, car s’ils le font, ils seront terriblement dans l’erreur, et surpris, s’ils vivent sur terre une vie qui les y fera être placés. Je voulais simplement dire ceci ce soir, car je ne veux pas que vous receviez une communication qui ne soit pas en accord avec la vérité. Il est d’une importance vitale que vous ne recevez rien d’autre que la vérité, parce que nous, qui sommes intéressés par ce travail, avons déterminé que rien d’autre que la vérité ne viendra à vous, et que chaque fois que des erreurs ou des inexactitudes s’introduiront, nous les corrigerons soigneusement.
Donc, sans en écrire plus ce soir, je dirai que je suis, votre frère en Christ, Jean.
Ce message est publié dans le Volume II, première édition française, à la page 452 et dans le volume III à la page 127. Pour plus de détails, vous pouvez consulter, en anglais, cette page.↩