Par ordre Chronologique 1915 - Deuxième Partie
Jésus a montré sa grande gloire et a donné son amour à M. Padgett
Jésus - reçu par James Padgett le 14 Décembre 1915, Washington, USA.
C’est moi, Jésus.
Eh bien, je suis si heureux que vous désiriez tant cet Amour et je vous dirai que le Père vous aime de toute Sa divine nature, et qu’il vous aide à recevoir cet Amour dans votre âme, et vous le recevrez bientôt en si grande abondance que vous vous trouverez heureux au-delà de toute conception. Et je vous aime aussi de tout mon cœur et de toute mon âme, et je suis très près de vous et j’essaie de vous faire sentir ma présence et mon influence. Soyez assuré que je suis avec vous dans tout mon amour et ma tendresse et que vous êtes l’objet spécial de mon attention et de ma protection. J’aimerais que vous puissiez me voir au moment où j’écris ceci car je suis rempli de tant d’amour pour vous, que je sais que si vous pouviez voir la gloire du Père manifestée, vous ne douteriez plus jamais de mon amour. Oh, mon frère, essayez seulement d’obtenir cet Amour par la prière et la foi de telle sorte qu’il devienne aussi réel pour vous que tout ce que vos sens naturels vous montrent pour exister dans le monde physique.
C’est plus réel que n’importe quoi dans toute la nature, et vous avez en vous la possibilité de réaliser qu’il s’agit d’une chose présente, et qu’elle est à vous, si seulement vous priez et croyez. 1 Je suis avec vous, dans la prière, la nuit, et avec tout mon amour et ma foi, je demande au Père de vous bénir, de faire de vous un véritable participant de Son Amour et de Sa miséricorde, et de vous donner l’assurance que vous recevrez et saurez que vous l’avez.
Mon cher frère, je dois arrêter maintenant, mais vos désirs de ce soir ont été si grands et si sérieux que je ne pouvais pas m’arrêter sans vous dire ce que j’ai. Et rappelez-vous que moi, Jésus, avec toute la connaissance et l’autorité que je possède, je vous dis que l’Amour du Père sera le vôtre, et que vous deviendrez un homme très heureux, et une autorité sur terre dans les choses spirituelles et qui concernent les affaires du Père.
Alors croyez-moi et faites confiance au Père, et vous ne serez pas abandonnés ou laissés seuls, mais vous serez entourés d’une foule d’anges témoins que vous êtes l’enfant choisi du Père, et l’objet de Son Grand Amour et de Ses bénédictions. Je n’écrirai plus maintenant, mais je dirai que je vous aime comme un vrai frère et ami, et même comme un ami plus proche de vous ; et vous devez croire, et le vôtre sera le bonheur que peu de gens sur terre possèdent. 2
Alors, avec tout le grand amour qui est le mien, je vous souhaiterai une bonne nuit et que Dieu vous bénisse.
Votre ami et votre frère, Jésus.
Note : Jésus s’est également exprimé, sur la sélection de James Padgett dans les messages suivants :
Auteur | Titre du message | Date du message |
---|---|---|
Jésus | Jésus n’est pas Dieu. Il est le chemin, la vérité et la vie | 24 Septembre 1914 |
Jésus | Ici, le Maître, lors de ses premiers messages, explique qui il était vraiment | 28 Septembre 1914 |
Jésus | Jésus n’est pas Dieu et ne doit pas être adoré comme Dieu. Explique sa mission | 24 janvier 1915 |
Jésus | La nature de Dieu comme mon Dieu et votre Dieu | 31 janvier 1915 |
Jésus | Pourquoi les hommes doivent croire qu’il est le vrai Jésus et pourquoi il écrit à travers M. Padgett | 15 Juin 1915 |
Jésus | Le pouvoir merveilleux qui pourrait venir vers M. Padgett s’il avait seulement la Foi | 26 Septembre 1915 |
Jésus | Jésus dit que sa mission d’écriture de ces messages est sa seconde venue sur terre | 02 Décembre 1915 |
Jésus | Jésus n’est pas Dieu, mais un frère aîné | 25 Décembre 1915 |
Jésus | La religion du futur sera complète et finale, fondée sur les Vérités reçues par M. Padgett | 06 Novembre 1917 |
Jésus | La sélection par Jésus de James Padgett | 25 Octobre 1918 |
M. Padgett m’a dit que lorsqu’il priait juste avant de se retirer la nuit, il voyait parfois Jésus priant à côté de lui.↩ Ce message est publié dans le Volume II, première édition française, à la page 243 et dans le volume III à la page 134. Pour plus de détails, vous pouvez consulter, en anglais, cette page.↩