Par ordre Chronologique 1915 - Deuxième Partie
Les esprits qui sont liés à la terre, les pensées ne changent pas lors de l’entrée dans le monde spirituel
Graft Von Moltke - reçu par James Padgett le 1 Novembre 1915, Washington, USA.
Je suis, Von Moltke. 1
Laissez-moi vous dire que je suis allemand et que j’ai entendu ce que le petit caporal (Napoléon !) a dit, et que, bien qu’il ait été un grand général lorsqu’il était sur terre, en tant que général des esprits il est un échec, car sa chère France ne verra jamais la gloire qu’il lui prédit. Elle est à son meilleur maintenant, cependant lorsque ses armées commenceront cette grande avancée dont parle Napoléon, elles seront rejointes par les Allemands et anéanties.
Je visite également le quartier général des Alliés et je connais leurs plans, et je sais que Napoléon est là pour les conseiller ; mais il est arriéré en ce qui concerne l’amélioration de l’armement, des armes et des munitions, et il est également arriéré dans ses conseils. Il a trouvé son Waterloo, et jamais plus il ne s’élèvera pour devenir le grand chef des armées. Mais il est étrange de dire qu’il pense être le même général sage, sagace et tactique qu’il était sur terre. Mais il découvrira son erreur.
Les Allemands seront sûrement victorieux dans cette grande guerre, et les Français demanderont la paix, et avec eux leurs alliés.
Il est inutile que j’écrive davantage sur cette question, car je ne pourrais que répéter ce que j’ai dit ; mais vous, mon ami, gardez cela en mémoire et faites cette prédiction quant à la fin de la guerre : Les Allemands seront les vainqueurs. 2
Votre ami, Von Moltke. 3
L’ancien stratège des armées allemandes lors de la chute de la France.↩ Cette remarque est la parfaite illustration du fait que les esprits ne peuvent absolument pas prédire l’avenir. Tout ce qu’ils peuvent faire c’est de deviner en connaissance de cause, car ils ont accès à une grande quantité d’informations, néanmoins, Von Moltke avait tort. Toutefois, cela ne doit pas être considéré comme une déclaration selon laquelle l’avenir ne peut jamais être prédit – qu’il est absolument prévisible, mais que l’information doit venir de Dieu. Le message de Spinoza du 5 Janvier 1919 « Baruch Spinoza écrit sur la capacité du médium à prédire l’avenir de tout personne » le confirme. (G.J.C.)↩ L’ensemble des messages relatifs à la première guerre mondiale sont disponibles par l’intermédiaire de ce lien.↩