Par ordre Chronologique 1915 - Deuxième Partie
Un professeur d’arts et de sciences, écrit sur son continent perdu et la haute intelligence qu’il possédait
Jayemas - reçu par James Padgett le 7 Octobre 1915, Washington, USA.
Je suis Jayemas.
Je suis l’esprit d’un homme qui, lorsqu’il était sur terre, habitait le grand continent de l’Atlantide qui fut submergé par un cataclysme qui a casé la noyade de tous les habitants de ce pays.
Je suis maintenant dans la sixième sphère avec beaucoup d’autres de mes compatriotes, et nous jouissons de beaucoup de bonheur et de grandes activités intellectuelles que nous apporte la connaissance des lois merveilleuses de l’univers.
Je fus, lors de mon séjour sur terre, professeur d’arts et de sciences, ainsi que de philosophie de la vie. J’ai fait de nombreuses inventions qui ont permis à mon peuple de progresser dans le développement de l’usage des forces qui existaient dans le monde invisible et qui existent encore aujourd’hui et fonctionnent.
Si seulement les mortels comprenaient et avaient les moyens d’utiliser ces forces, ils jouiraient de merveilleuses facilités pour voyager et propulser les différents moteurs commercialisés qu’ils sont occupés à fabriquer, et pour faire plus facilement le travail qui se fait maintenant manuellement ou par un matériel imparfait.
Vous ne devez pas penser que les forces de la nature ont toutes été découvertes par vos grands scientifiques et inventeurs, car ce n’est pas vrai. Dans un avenir proche, vos chercheurs découvriront des forces merveilleuses qui révolutionneront de nombreux moyens de communication entre les nations et ouvriront aux hommes des possibilités qui sont à leur portée.
Je n’ai pas le droit de révéler ces secrets pour l’instant mais, dans un avenir proche, ils seront révélés et vous verrez certaines de ces forces s’appliquer à l’élaboration de ce que vous supposez être les idées de vos inventeurs.
Cette fois, je voulais simplement me présenter car j’espère revenir ultérieurement vous parler de ma vie sur le continent submergé. Je n’écrirai donc pas plus.
Votre ami, Jayemas l’Atlante.