Par ordre Chronologique 1915 - Deuxième Partie
Est-ce qu’un homme peut vivre et aimer et aller dans le néant ? La réponses est non ! Ainsi parle William T. Stephenson
William Stephenson - reçu par James Padgett le 6 Octobre 1915, Washington, USA.
Je suis William T. Stephenson.
J’étais anglais et je vivais à Liverpool. Je suis mort en 1876. Le sujet de mon message sera : « Un homme peut-il vivre et aimer, puis mourir et sombrer dans le néant ? »
Je peux répondre non ! Car l’amour ne meurt jamais. C’est la seule qualité éternelle et sans fin de l’âme. L’amour d’un homme pour une femme est si grand que seul l’amour de Dieu pour l’homme le dépasse. Je veux dire le véritable amour de l’âme sœur. Je suis un esprit qui a vécu sur terre et qui a aimé une femme de la terre. Lorsque je suis mort, mon amour n’est pas mort, mais il a continué et il est avec moi maintenant, grandissant et croissant sans cesse. Elle m’aimait aussi, mais, dans sa solitude, elle en a épousé un autre et est maintenant sur terre l’épouse d’un autre, mais son amour de l’âme est le mien et, aussi étrange que cela puisse vous paraître, je ne suis pas jaloux ou mécontent de sa condition, car en tant qu’esprit ne l’aimant qu’avec un amour de l’âme et sachant que j’ai son amour de l’âme en retour, je ne veux pas de son corps ni des affections qui sont si étroites, de l’amour simplement naturel ou plutôt les attirances qu’une existence physique ou même mentale peut avoir pour un autre.
Je ne fais qu’attendre, aimer et espérer que je n’aurai pas à attendre très longtemps avant qu’elle ne soit avec moi. Vous voyez donc que l’amour ne peut pas mourir et que le bonheur qui vient avec cet amour ne peut jamais mourir. Je suis dans la deuxième sphère et je profite de mon existence. Pardonnez-moi de vous avoir dérangé, mais je voulais seulement vous faire savoir que l’amour ne peut jamais mourir.
Alors, bonne nuit.
William T. Stephenson.