Par ordre Chronologique 1915 - Deuxième Partie
Le Professeur Salyards écrit sur l’effet de l’Amour Divin sur l’âme des esprits et son grand pouvoir de purification
Professeur Salyards - reçu par James Padgett le 10 Octobre 1915, Washington, USA.
C’est moi, professeur Salyards.
J’ai entendu vos demandes de renseignements auprès de votre femme et je suis heureux que vous ayez exprimé le désir d’avoir à nouveau de mes nouvelles, car j’ai certainement envie de vous écrire.
Depuis que je vous ai écrit la dernière fois, je vis dans la septième sphère avec mon âme-sœur et proche de votre père, et je suis très heureux de l’amour dont je jouis maintenant.
J’ai vu tellement de l’effet de cet Amour Divin sur les âmes des esprits qui entrent en sa possession, que je m’étonne de plus en plus du fait de son grand pouvoir de rendre pures et véridiques les âmes qui étaient dans tant d’obscurité et de tourment. J’ai vu des conversions très surprenantes d’âmes imprégnées de péché et d’erreur, d’âmes dont les derniers péchés les ont quittés et le bonheur et l’Amour qui viennent à elles dans un afflux merveilleux.
Depuis que je suis dans la septième sphère, j’ai prêté très peu d’attention aux choses sur lesquelles je vous ai écrit au début du développement de mon âme, parce que maintenant, pour moi, l’âme et ses possibilités divines sont les choses qui absorbent mon attention et mon effort.
Je regrette de ne pouvoir continuer mes écrits sur certaines phases des lois du monde des esprits, mais pour les raisons indiquées, je ne peux pas car seul ce Grand Amour et le travail d’aider les hommes et les esprits à obtenir cet Amour Divin et à devenir enfants du Père, me possèdent et occupent tout mon temps et mon attention. Vous ne devez donc pas être déçu que je ne continue pas les écrits dont je parle.
Je peux vous parler de la septième sphère, de la vie et des habitants et du bonheur merveilleux dont nous jouissons tous. Nos maisons vous ont été décrites par votre grand-mère et votre femme et je ne peux rien ajouter à leurs descriptions, si ce n’est pour dire qu’elles n’expriment pas la moitié de la beauté et de la grandeur de ces maisons et de la joie des habitants. Je suis dans une maison de ce genre maintenant et je suis avec mon âme-sœur et nous sommes très heureux. Je ne sais pas pour l’instant s’il y a quelque chose d’autre sur quoi écrire.
Vous n’êtes pas flatteur, mais vous avez raison.
Je semble avoir perdu le désir d’enquêter et d’écrire au sujet des choses sur lesquelles je vous ai d’abord écrit, et je ne me suis pas encore préparé à écrire sur ces choses supérieures.
Je vais donc m’arrêter ce soir.
Votre vieil ami et Prof. Joseph H. Salyards.