Par ordre Chronologique 1915 - Première Partie

Écrit au sujet de la progression de l’amour pour le Père qui aidera M. Padgett tant sur le plan matériel que spirituel

Jésus - reçu par James Padgett le 30 Août 1915, Washington, USA.

C’est moi, Jésus.

Je viens ce soir parce que je vois que vous priez à nouveau le Père pour l’afflux de Son Amour et pour la foi, et pour une proximité avec Lui qui vous rendra heureux. Je me réjouis de cette nouvelle aspiration et sais que l’Amour viendra à vous et que votre foi progressera, et votre confiance en moi s’établira fermement afin que nous puissions continuer notre travail. Je viendrai donc bientôt vous écrire un autre de mes messages formels, et j’espère que nous pourrons ainsi aller de l’avant rapidement.

J’ai été avec vous aujourd’hui et je sais ce que vous avez ressenti et comment, d’une certaine manière, vous avez cru que certaines choses se produiraient sans savoir pourquoi – mais vous ne vous êtes pas beaucoup inquiété et vous vous attendiez à les obtenir au moment voulu. Eh bien, je veux vous dire que c’est le genre de foi que vous devriez avoir en référence à toutes les choses qui vous affectent tant sur le plan matériel que spirituel. Une telle foi apporte des résultats et vous ne serez pas déçu par votre foi actuelle, car ce dont vous avez besoin viendra à vous cette semaine. Je suis ici pour prédire une chose avec certitude telle que je la vois ; et je ne pense pas que vous serez déçu. Je sais ce que vous voulez dire, et nous vous aiderons, exercez seulement votre volonté, et lorsque vous sentirez que la tentation vient très fort vers vous, faites une prière au Père pour qu’il vous aide, et vous la recevrez.

Je suis heureux que vous soyez dans une telle condition d’harmonie avec le Père ce soir, et que votre amour pour lui soit si fort ; et avec cet amour viendra la foi qui sera capable d’accomplir la plupart des choses que vous pouvez désirer, et que le Père voit le mieux pour vous. Oui, vous pouvez demander ces choses avec l’assurance qu’elles seront agréables au Père, et ne vous seront pas refusées. J’aimerais écrire plus longtemps, mais je dois arrêter maintenant.

Je vous dirai la prochaine fois que j’écrirai sur ces deux esprits qui disent être les premiers parents de la race humaine. Je n’ai pas le temps maintenant, et ce que je peux dire peut être intéressant pour vous et pour le monde.

Alors, mon cher frère, je vous souhaite une bonne nuit.

Votre frère, Jésus.