Par ordre Chronologique 1915 - Première Partie
Aleyabis un disciple de Zoroastre a entendu les conversations précédentes et, puisqu’il ne connaît rien au sujet de l’Amour Divin, aimerait apprendre à ce sujet
Aleyabis - reçu par James Padgett le 20 Août 1915, Washington, USA.
Je suis Aleyabis.
Laissez-moi écrire. J’ai écouté ceux qui m’ont précédé, et je suis intéressé par ce qu’ils ont dit.
Je ne sais rien de cette Nouvelle Naissance, et bien que je vive dans le monde des esprits depuis longtemps et dans un grand bonheur, je n’ai jamais encore entendu parler de la doctrine.
Je me sens comme le Turc, en ce sens que s’il y a une quelconque vérité dans cette doctrine, j’aimerais connaître sa signification. Bien sûr, pour apprendre, je devrai faire des recherches et pour cela je dois avoir un point de départ ; et si vous pouvez me montrer comment je peux entrer en contact avec tout ce qui peut m’aider dans mon enquête, je vous en serai obligé.
Je suis un Persan et mon nom était Aleyabis. J’ai vécu il y a quatre mille ans, et j’étais et je suis encore un disciple de Zoroastre, le divin maître de Dieu. Je vis dans les plus hautes sphères où vivent les disciples de notre maître. Nous ne sommes pas dans le même ciel que les esprits des autres croyances, mais nous avons un ciel pour nous tous seuls, même si je suis parfois en contact avec des esprits de ces autres cieux.
Il m’arrive d’entrer en contact avec les esprits Chrétiens et de leur parler, mais nous ne discutons pas de nos doctrines, car nous croyons chacun si fermement à la vérité de nos croyances respectives, qu’aucune discussion sur leurs mérites relatifs ne servirait à rien.
Je vois beaucoup d’esprits autour de vous, et certains sont très beaux et brillants, plus que je n’en ai jamais vu auparavant, et semblent aussi avoir beaucoup d’amour dans leur être.
Elle est ici et dit qu’elle sera heureuse de me montrer la voie à suivre pour mes enquêtes, et j’accepterai son aimable proposition.
Je reviendrai vous voir un jour pour vous faire part du résultat de mon enquête.
Votre ami, Aleyabis.