Par ordre Chronologique 1915 - Première Partie
George Washington est un disciple du Maître et il a progressé vers le premier Ciel céleste et est toujours intéressé dans les âmes individuelles des hommes ainsi que par leur bien être spirituel
George Washington - reçu par James Padgett le 1 Août 1915, Washington, USA.
Je suis Georges Washington. Je fus le premier président des États Unis. Je suis venu vous dire que je suis un esprit qui est fidèle aux enseignements du maître Jésus. Je réside dans la première sphère céleste (le royaume de Dieu) où ma maison est faite de bonheur et d’amour.
Je ne suis plus tellement préoccupé par les affaires de la Terre comme je le fus antérieurement. Je n’essaie plus d’influencer les hommes qui sont en charge des affaires publiques comme je l’ai fait il y a quelques années. Maintenant je vois que les choses de la terre sont seulement provisoires et n’ont pas besoin de la surveillance des esprits qui se sont avancés jusqu’aux plus hautes sphères (du monde spirituel) et, par conséquent, je ne m’intéresse plus à ce sujet. Par contre je suis très concerné par les âmes individuelles des hommes et par leur santé morale et je fais tout ce que je peux pour les aider à développer leur qualité d’âme. Ainsi si vous lisez que j’influence les dirigeants de la nation ou d’autres qui ont un rapport avec la rédaction ou l’exécution des lois, vous devrez conclure que ce message ne vient pas de moi ou qu’il est d’une façon quelconque suggéré par moi.
Je suis maintenant intéressé par les hommes en tant qu’individus parce que leur bien être concerne toute l’éternité et non seulement un temps provisoire comme l’est le bien être de la nation. Bien entendu, lorsque les hommes acquièrent un développement plus élevé de leur âme, ce développement profitera à la nation toute entière et le bonheur des hommes, tant au niveau individuel que collectif, sera assuré et les rendra plus unis avec le Père. Alors seulement la fraternité humaine sera plus effective.
La fraternité humaine n’est pas le but essentiel pour lequel les hommes doivent travailler ou prêcher. La priorité est que chaque homme expérimente, dans son cœur, l’Amour Divin du Père. Les vrais principes qui doivent présider à la fraternité humaine trouveront alors leur place. Les hommes, non seulement comme des individus, mais comme des frères, constateront, alors, qu’ils sont plus heureux et ils se consacreront alors au service de l’un l’autre. La cause du plus grand nombre sera alors d’elle même assurée. Aucun simple désir philanthropique humain ne permettra l’établissement du nouveau et super millénaire que les hommes attendent avec impatience (nous sommes en 1915) et ne favorisera la mise en œuvre de la fraternité humaine.
Bien entendu, les hommes doivent essayer de s’aimer même s’ils n’ont pas cet Amour Divin dans leur âme, cependant un tel amour ne sera pas suffisant pour former une fraternité qui durera et grandira dans toutes les circonstances. Les aspirations humaines sont telles que ce qui pourrait les réunir naturellement ensemble, dans un grand projet, sera limité par leurs intérêts matériels respectifs. L’amour du pouvoir ou l’ambition d’étendre leurs intérêts territoriaux ou commerciaux entrera en conflit avec cet amour naturel qu’ils peuvent éprouver les uns pour les autres. L’amour naturel s’effacera alors, et, en conséquence, la guerre s’ensuivra. La haine, l’envie et le désir de dominer prendra le pas sur le désir originel d’amour et de fraternité. C’est seulement lorsque les hommes auront acquis cet Amour Divin dans leur cœur qu’ils auront la force nécessaire pour surmonter ces désirs naturels.
Je dis, donc, le grand et seul amour utile est la recherche et l’obtention d’une fraternité humaine fondée sur l’Amour Divin existant dans les âmes individuelles. Sans ceci, la fraternité sera fondée sur du sable mouvant et aucune stabilité ne pourra alors permettre une existence durable. J’ai assez écrit pour mon premier essai (sous entendu première écriture automatique).
Quant à la guerre épouvantable présente (la première guerre mondiale), je ne lui trouve aucune excuse et encore moins de justification. Les conséquences qui en dérouleront sont au-delà de la conception des hommes d’État les plus sages. Je ne sais pas quand et comment cette guerre prendra fin mais il me semble que les alliés devraient prévaloir et les allemands et autrichiens être contraints de se soumettre aux préceptes de leurs antagonistes.
Mais avant que ce temps arrive, beaucoup d’hommes auront rejoint le monde spirituel (auront perdu leur vie terrestre). Il y aura beaucoup d’orphelins et des veuves auront à souffrir de la faim et devront subir les tourments de détresse.
Laissez les hommes combattre s’ils le désirent. Sachez, cependant, que les vérités du Père continueront toujours à prévaloir et appelleront les hommes à les reconnaître et à les embrasser.
Ainsi, mon ami, je dois m’arrêter.
Je suis reconnaissant de votre bonté. Je vous dis bonne nuit.
Votre frère dans le Christ Georges Washington. 1
L’ensemble des messages relatifs à la première guerre mondiale sont disponibles par l’intermédiaire de ce lien.↩