Par ordre Chronologique 1915 - Première Partie
Confirmation par Anne Rollins, est très étonnée quant à la grande assurance qui est donnée à M. Padgett
Anne Rollins - reçu par James Padgett le 18 Juillet 1915, Washington, USA.
Je suis ta grand-mère, et je sens que je dois t’écrire avant que tu t’arrêtes, car je suis tellement étonnée des grandes assurances que tu as reçues quant à ton appel à la grande œuvre du Maître, que je ne peux pas te laisser te retirer sans te dire à quel point tu es un homme béni.
Je savais, bien sûr, que le Maître t’avait choisi et les écrits que tu as reçus n’ajoutent rien à ma connaissance, mais, ce qui me surprend, c’est que tous ces esprits exaltés doivent venir, l’un après l’autre, et te déclarer que tu as été choisi.
Tu ne peux certainement pas douter de ce que cette multitude de témoins a dit. Je ne comprends pas très bien pourquoi tant de gens sont venus pour te donner cette assurance, à moins qu’ils aient voulu que tu commences ce grand travail avec une foi qui n’admet aucun doute et pour s’assurer que la foi qu’ils ont estimée nécessaire, que ce grand et cumulatif témoignage, te soit donnée.
Mon cher fils, je sens que tu as été béni plus que les autres hommes qui vivent maintenant et que la grande faveur qui t’a été accordée est une faveur que très peu de mortels ont reçue.
Je te dis donc que nous rendons tous grâce à Dieu et louons Sa bonté pour ce qu’Il a fait pour toi. Tu ne dois pas penser qu’Il n’a rien à voir avec cette sélection, car Il est le Grand Père, et Jésus, le grand Fils, l’a consulté comme il m’a été dit.
Jésus est lui-même, tout puissant, sage et bon, mais aussi humble et aimant, et il est très proche du Père et cherche ses conseils et sa direction comme lorsqu’il était sur terre.
Tu vois donc que notre Maître, alors qu’il est suprême dans ce royaume où vivent les rachetés, se rend compte qu’il a besoin de l’aide de son Père. Eh bien, tu as raison – mais tu ne dois pas penser à ta propre indignité.
Je pense que ce sera le plus merveilleux ensemble d’esprits qui ait jamais existé, à l’exception de cet ensemble qui a veillé et protégé Jésus de sa naissance à sa mort.
Alors, mon cher fils, je dois m’arrêter maintenant et dire que je suis ta propre vraie grand-mère aimante, Anne Rollins.