Par ordre Chronologique 1915 - Première Partie
Helène Padgett commente la fatigue de M. Padgett
Hélène Padgett - reçu par James Padgett le 13 Avril 1915, Washington, USA.
C’est moi, Hélène.
Oui, je serais là quoi qu’il arrive.
Eh bien, tu as reçu un beau discours de la part du professeur, et ce fut un discours merveilleux. Je suis heureuse qu’il t’ait écrit sur le sujet, car cela dissipe de nombreux doutes que toi ou tes amis peuvent avoir. Il n’a pas encore fini, mais il t’a a vu fatigué et il s’est arrêté.
[Mon cerveau était fatigué…]
Oui, c’est ce qu’il a dit, et je suis si heureuse que tu te rendes compte qu’il utilise ton cerveau aussi bien que ta main. C’est pourquoi Ned, sans ton cerveau, nous ne pourrions absolument pas écrire. Ne penses donc pas que nous n’utilisons que tes mains, car ton cerveau est le plus important des deux.
Ta propre vraie et aimante Hélène.