Par ordre Chronologique 1915 - Première Partie

Le professeur Salyards écrit au sujet de l’excellent travail que fait M. Padgett et qu’il l’aidera également

Professeur Salyards - reçu par James Padgett le 12 Avril 1915, Washington, USA.

C’est moi, votre vieux professeur.

Je suis très heureux et je suis ravi de dire que je peux voir que vous l’êtes aussi. Je tiens à vous dire que je suis maintenant prêt à vous écrire comme je vous l’ai promis, et que je serai heureux de le faire chaque fois que cela vous conviendra. Eh bien, cela me conviendra très bien, et je serai ici, prêt à vous partager mes meilleures pensées, et j’espère que vous trouverez mes écrits intéressants et utiles.

Oui, elle est heureuse et est ici. Elle dit que vous lui êtes très cher et veut que vous sachiez que vous faites un grand bien aux pauvres esprits malheureux qui viennent vous demander de l’aide. Elle est prête à vous aider aussi, si vous le désirez.

Oui, dit Mme Salyards, ce sera parfaitement correct, et elle n’hésitera pas à répondre et à faire ce qu’elle peut. C’est ce qu’elle dit et, avec tout son amour, elle vous souhaite beaucoup de bonheur et de succès.

Eh bien, j’ai essayé de les aider, et certains d’entre eux m’ont écouté, ont essayé de suivre mes conseils et s’efforcent maintenant d’obtenir le pardon et l’Amour du Père. Certains n’ont pas été aussi facilement impressionnés, mais je crois qu’ils essaieront finalement de faire ce que je leur ai conseillé. Oh, c’est un grand et bon travail que vous faites, et nous vous aidons à le faire.

Oui, j’ai entendu la conversation entre lui et M. Riddle, et cela m’a beaucoup plu. Ce fut toute une révélation pour moi, car j’avais du mal à concevoir qu’un esprit, avec tout l’environnement qui existe ici, puisse avoir une telle auto-opinion, ou croire qu’il avait un esprit si complet. C’était certainement intéressant de l’entendre parler de la merveilleuse connaissance qu’il possédait, ou qu’il croyait posséder. De tels esprits, je n’en doute pas, sont très difficiles à convaincre qu’il y a peut-être peu de connaissances qu’ils ne possèdent pas.

Je n’écrirai plus maintenant, mais je vous souhaite une bonne nuit.

Avec tout mon amour et tous mes vœux pour votre bonheur, je suis votre ancien professeur, Joseph H. Salyards.