Par ordre Chronologique 1915 - Première Partie
Le Professeur Salyards est invité à écrire sa prose ou son poème, comme il l’a mentionné dans un texte précédent
Professeur Salyards - reçu par James Padgett le 1 Avril 1915, Washington, USA.
C’est moi, votre ancien professeur.
Oui, nous sommes très heureux, mais elle l’est plus que moi. Elle a plus d’amour dans son âme. Elle vous aime beaucoup et veut, un jour, vous écrire pour vous dire à quel point vous êtes un médium merveilleux et combien vous nous donnez du bonheur à tous. Elle est très belle et aimante. Elle (sa mère) n’est pas aussi belle et aimante que votre femme et très peu d’esprits le sont.
Votre grand-mère est encore plus belle, mais elle est une exception. Oh, c’est la plus belle de toutes et elle est si sage et si bonne.
Oui, je l’ai été et j’ai pensé que c’était une merveilleuse production. Elle l’a écrit elle-même, aucun esprit masculin n’y est pour quelque chose, comme l’a fait remarquer votre ami. Elle en sait plus sur la vie spirituelle supérieure que n’importe quel esprit masculin que je connaisse, sauf Jésus. Il est, bien sûr, sans comparaison. Mais à côté de lui, je ne connais aucun esprit masculin qui soit l’égal de votre grand-mère dans sa connaissance de ces choses spirituelles.
Nous le reconnaissons tous et soumettons nos jugements au sien, et, de plus elle est si bonne et aimante.
Eh bien, il est si tard ce soir, je n’écrirai pas grand-chose, mais je suis maintenant prêt à vous écrire mon exposé sur certaines questions comme je vous l’ai promis il y a quelque temps. Et lorsque vous direz que vous êtes prêt, je serai heureux de le faire.
Oui, ce sera mieux et vous l’aurez dans les moindres détails car j’ai pris grand soin de composer ce que je sais faire de mieux.
Oui, cela a été écrit lorsque je n’avais pas mon développement spirituel actuel et les choses alors écrites ne m’intéressent pas beaucoup maintenant. Pourtant, il y a de belles pensées dans le livre.
Eh bien, je vais essayer.
Ô mon âme quand je réalise la merveilleuse capacité que tu as d’aimer et de dire ton amour, je me tiens en adoration muette de ton grand Créateur.
Tu es la plus grande créature de Sa Sagesse et de Son Amour et lorsque, en toute plénitude, tu possèdes le merveilleux Amour du Père, la Divinité est la tienne.
Tu possèdes le merveilleux amour du Père, la divinité est la tienne, et l’immortalité est la tienne.
Alors laisse mon amour être.
Je ne suis pas capable d’écrire plus. Laissez-moi essayer une autre fois lorsque vous serez en meilleure condition. Non, je le terminerai la prochaine fois que j’écrirai. Vous voyez, ce n’est pas en vers, mais en prose, ce que je préfère, car le sens peut être exprimé plus clairement.
Mais je l’écrirai la prochaine fois que je viendrai.
Bonne nuit, mon cher ami et frère, votre véritable ami, Joseph Salyards.