Par ordre Chronologique 1915 - Première Partie
Confirme beaucoup de choses que M. Padgett lui a dites sur la vie dans le monde des esprits 1
Juge Syrick - reçu par James Padgett le 29 Mars 1915, Washington, USA.
C’est moi, Syrick.
Permettez-moi de dire un mot, je suis votre défunt ami et frère dans le spiritualisme. Oui, je suis capable d’écrire et votre femme m’a dit d’essayer car elle souhaite me rendre plus fort et me faire réaliser que je vis comme un esprit. Eh bien, je suis ici et en vie et j’ai ma Rose avec moi. Elle est si belle et aimante et je suis très heureux d’être avec elle, mais j’ai déjà appris que je ne peux pas vivre avec elle car elle est tellement plus élevée que moi dans son développement spirituel, mais elle me dit que je peux progresser et je vais essayer de toutes mes forces.
Eh bien, vieil ami, l’incertitude est devenue certaine et je sais maintenant que les esprits peuvent communiquer et communiquent avec les mortels. Alors, laissez aller tous les doutes que vous pouvez avoir, abandonnez les et croyez de tout votre cœur que vous avez reçu les messages de votre groupe et des autres comme vous en avez été informé.
Je peux vous dire que vous avez comme femme, et comme âme sœur, le plus beau de tous les esprits que j’aie jamais vus. Je n’avais aucune idée de ce qu’était la beauté jusqu’à ce que je vienne ici et que je voie votre femme, Rose et la Mary du Dr Stone. Elle est très belle aussi et l’aime, je le sais, d’un amour très profond. Comme c’est ma première tentative, je suis fatigué et je dois arrêter.
Eh bien, je ne connais personne à qui je préférerais qu’il appartienne plutôt qu’à vous, alors gardez-le et pensez à moi parfois.
Donc, avec mes meilleures salutations et mes meilleurs vœux, je suis votre véritable ami, Frank D. Syrick.
Ce message est publié dans le Volume III à la page 373 et le Volume IV à la page 294. Pour plus de détails, vous pouvez consulter, en anglais, cette page↩