Par ordre Chronologique 1915 - Première Partie
Un vendeur de whisky est dans l’obscurité 1
George E Young - reçu par James Padgett le 28 Mars 1915, Washington, USA.
Je suis George E. Young.
Je viens d’une ville de Géorgie, je veux dire de Savannah. J’ai besoin de votre aide et de votre assistance. Je suis si malheureux et ils me disent que vous pouvez m’aider – certains esprits que vous avez aidés. Alors si vous pouvez le faire.
Je suis décédé en 1889 dans ma maison de Savannah. J’étais marié et j’ai laissé ma femme et mes quatre enfants. Ils vivent tous là maintenant. Oui, je fus un pécheur lors de ma vie sur terre. J’étais un vendeur de whisky et j’ai envoyé de nombreux hommes en enfer et dans la damnation et maintenant je paie les pénalités de mon travail. Je veux donc être aidé et je le veux tellement. Je suis torturé par les souvenirs du malheur que j’ai causé à de nombreux hommes et à leurs familles. Je n’ai pas de souffrances physiques car je n’ai pas de corps physique, mais si seulement je pouvais aller dans l’enfer de l’église et y être brûlé et anéanti, je le ferais volontiers. Mais je ne peux pas mourir, je dois vivre et endurer cette grande damnation. Je suppose que c’est juste, mais cela ne diminue en rien la souffrance. Je me demande s’il existe un Dieu de miséricorde et de pardon. Il me semble que s’il y en a un, il est loin de moi et n’entend pas mes appels au pardon.
Alors dites-moi si vous pouvez faire quelque chose pour soulager cette grande souffrance et cette obscurité. Oui, si vous me dites qu’il y a un moyen, je suivrai votre conseil et j’essaierai de croire.
Oui, je vois un certain nombre d’esprits qui sont si beaux et semblent si heureux et je souhaite seulement être comme eux. Comment se fait-il qu’ils soient si beaux et si heureux ? Oui, je la vois. Elle dit qu’elle est votre mère et Oh comme elle est belle et bonne.
Eh bien, je vais faire ce que vous dites, mais est-ce qu’elle va me parler ? Elle est trop bonne et trop pure pour faire cela, j’en ai peur. Je vais lui demander avec tous mes remerciements et, dans l’espoir de trouver un soulagement, je vous souhaiterai une bonne nuit.
Ce message ne figure pas dans les volumes publiés. Il a été transcrit et présenté à l’occasion du 100e anniversaire de 2014 par Paul King.↩