Par ordre Chronologique 1914

Première tentative pour délivrer un message formel. Mais M. Padgett n’était pas en état de le recevoir complètement

Jésus - reçu par James Padgett le 17 Décembre 1914, Washington, USA.

C‘est moi, Jésus.

Je suis venu vous écrire mon premier message [formel] mais vous êtes trop faible pour le prendre. Je reviendrai quand vous serez plus fort. Vous n’êtes pas en état de recevoir ce que je dois écrire parce que vous êtes trop préoccupé par vos affaires terrestres. Je veux donc que vous laissiez ces choses se détacher entièrement de vous, car je ne peux vous communiquer les pensées que je désire que vous écriviez, jusqu’à ce que vous soyez totalement libéré de vos soucis terrestres. Soyez plus fidèle et vous serez plus en mesure de faire ce que je veux. Je ne reviendrai pas tant que vous ne serez pas libéré de ces soucis, car vous n’êtes pas en état de recevoir ce que je veux écrire tant que ces soucis existent.

[Question posée par M. Padgett, inconnue :]

Oui, je sais, mais vous n’avez pas réussi car je peux voir l’état de votre esprit et je sais que vous êtes trop préoccupé par les choses auxquelles vous avez pensé pendant la journée. Vous devez faire davantage confiance au Père.

[Autres questions et réponses :]

Oui, je le fais. Laissez donc cette question en suspens.

Oui, je suis Jésus, et les hommes dont vous avez entendu parler étaient mes disciples et ils profitent maintenant de la récompense à laquelle leur travail et leur foi leur ont donné droit. Ils ne sont pas dans les Cieux en train de chanter des psaumes ou de chevaucher des nuées, comme le croient et l’enseignent certains des prétendus Chrétiens d’hier et d’aujourd’hui, mais ils travaillent toujours pour le salut des âmes humaines et spirituelles. Ils sont toujours avec moi et font le même genre de travail que lorsqu’ils étaient sur terre.

Ils ne le pensaient pas vraiment, ils ne parlaient qu’en allégorie, et signifiaient que j’étais dans les cieux où ils supposaient tous que Dieu était ; mais quant à mon assise à la droite de Son Trône, ce n’est pas vrai. Je suis dans une sphère qui est la plus haute et la plus proche de la source de l’Amour de Dieu, mais je travaille aussi pour sauver l’humanité de ses péchés et l’amener à l’unisson avec l’Amour de Dieu, qui est tout autour des hommes et des anges, mais pas nécessairement en eux ou ne fait partie d’eux. Ce n’est que lorsqu’une âme est remplie de cet amour qu’on peut dire qu’elle est dans le Royaume de Dieu. Alors ne pensez pas que parce que l’Amour de Dieu est partout dans le monde que chaque homme en bénéficie. Je vous dis que seul l’homme qui a reçu cet amour dans son âme et qui le laisse remplir cette âme de façon à qu’il n’y ait pas de place pour quoi que ce soit qui tendrait à la souiller, peut être considéré comme ayant reçu le salut ou comme étant un avec le Père.

Vous essayez d’apprendre la vérité à cet égard et vous progressez à un degré tel que vous réaliserez ce que signifie la Nouvelle Naissance, et sans cette Nouvelle Naissance aucun homme ne peut pleinement jouir de l’Amour du Père ou être suprêmement heureux. Les hommes peuvent penser, lorsqu’ils entrent dans le monde des esprits, qu’ils sont heureux en raison d’une grande excellence morale ou d’une merveilleuse acquisition mentale, mais leur bonheur n’est pas celui que l’amour de Dieu, qui remplit l’âme de l’homme, apporte.

Que votre foi en l’unique réalisation nécessaire se développe donc, et quand vous l’aurez pleinement réalisée, vous serez très heureux et dans le Royaume de Dieu. Je dois arrêter d’écrire maintenant, car vous n’êtes pas en état d’écrire plus.

[Question et réponse :]

Non, je reviendrai bientôt lorsque vous serez en état de me recevoir. Oui, je vous aimerai de tout mon cœur et je vous laisserai sentir que je suis en relation plus étroite avec vous et je vous conduirai à un plus grand bonheur à partir de maintenant jusqu’à ce que vous puissiez trouver l’amour plus étendu et plus grand de l’Esprit Saint. Il est avec vous dans une large mesure maintenant, mais pas aussi complètement que vous en avez besoin.

Vous m’êtes très cher et je ne vous abandonnerai jamais, alors reposez-vous dans cette assurance et je sais que vous serez plus heureux, car aucun homme, qui a mon amour comme vous l’avez maintenant, n’a encore jamais été malheureux. Soyez seulement mon propre vrai disciple et je serai avec vous jusqu’à la fin.

Votre cher enseignant et ami, Jésus de Nazareth qui a été crucifié mais est ressuscité d’entre les morts, comme vous ressusciterez et revivrez dans la faveur et l’Amour du Père.