Messages Contemporains 2025

Surmonter ses blessures (partie 2)

Care Darby Walsh - reçu par reçu par Jimbeau Walsh le 2 Mai 2025, Anaheim, Californie, USA.

Je reviens, mais je serai brève. Je souhaite simplement clarifier ce que j’ai dit plus tôt. Je suis Care.

Quand on parle de ceux qui trouvent plus facile de se reposer dans leur cœur, de laisser Dieu ouvrir leur âme, il y a bien sûr les deux sexes, mais je soulignais la prédominance. Plus important encore, je tiens à dire ceci : lorsqu’on ne peut se libérer du mental et permettre à l’âme de s’élever, c’est à cause d’une blessure profonde, quelque part dans le passé, qui a parfois persisté toute une vie. Cette blessure a poussé l’âme à créer une barrière protectrice, qui, d’un côté, peut être qualifiée de bénéfique. De l’autre, elle empêche la guérison nécessaire, l’expiation nécessaire, le pardon des autres et le pardon de soi-même, pour ouvrir le cœur. Pour aider ces personnes blessées, il ne suffit pas d’être bienveillant, mais de les encourager à prier. Car si elles ressentent l’Amour de Dieu, elles se sentent aussi en sécurité. Il est important pour tous les enfants de Dieu, quel que soit leur âge, de ressentir la sécurité et la paix de Son amour.

Lorsqu’on est blessé physiquement, il est souvent nécessaire de prendre des médicaments. On le fait par exemple lorsqu’on a mal à la tête, qu’on a une coupure ou une plaie, ou encore lorsqu’on subit une opération nécessitant des médicaments pour soulager la douleur, voire l’engourdir. C’est une très bonne chose. Cependant, je tiens à préciser que la douleur physique est une chose. Lorsque la douleur spirituelle est enfermée dans son cœur, il est déconseillé de la surmédicamenter, de l’engourdir au point de ne jamais y faire face. Si vous vous autorisez à prier, à ressentir la douleur et à demander à Dieu de vous guérir, à expier, à lâcher prise et à pardonner, vous vous sentez élevé. Vous n’êtes plus derrière la barrière que vous avez créée, mais vous l’avez surmontée ; Vous avez progressé spirituellement. Alors n’ayez pas peur d’affronter vos, si vous préférez les appeler démons, vos défauts ou vos échecs. Car nous avons tous échoué, et reconnaître que vous êtes un enfant de Dieu et aimé au-delà de toute mesure est un pas vers le dépassement de la douleur et de la stagnation causées par votre blessure.

En ressentant l’Amour de Dieu, restez calme, ressentez la grande paix intérieure et entrez dans la grâce sans crainte. Vous vous en réjouirez. Et pour ceux d’entre vous qui ne sont pas confrontés à ces problèmes, ce serait une grande joie d’aider quelqu’un (qui l’est) avec compassion et empathie, sachant qu’il mérite d’être béni.

Je vous remercie de m’avoir permis de revenir, et je me retire car d’autres souhaitent prendre la parole. Que Dieu vous bénisse. Je vous aime tous. Je suis votre sœur en Christ. Je suis Care.