Messages Contemporains 2012
Dieu et l’économie
Antony Sutton 1 - reçu par FAB le 6 Avril 2012, Berkeley, Californie, USA.
Je suis Antony Sutton.
Vous venez de terminer mon livre, « La guerre contre l’or ». Vous aviez l’idée que l’économie est fragile, mais mon livre vous a montré la dure vérité. Vous vous demandez si l’élite a tant de pouvoir et de contrôle, comment est-il possible d’empêcher leurs plans ? Ils contrôlent l’économie et provoquent des paniques et des dépressions depuis très longtemps. Si Dieu n’interfère jamais avec le libre arbitre de l’homme, alors comment éviter le désastre et maintenir la liberté ?
Vous vous souvenez que les messages de James Padgett soutiennent que le péché et l’erreur seront détruits, et que Dieu et les Anges travaillent aussi pour le bien-être de l’homme. Alors pourquoi ne travailleraient-ils pas aussi maintenant ? En fait, ils le font.
Je dois avouer que cette façon de penser m’était totalement étrangère lorsque j’étais mortel. J’avais tendance à avoir un esprit très scientifique. J’habite le monde des esprits depuis peu de temps, mais il m’a été dit non seulement que mon travail était important, mais que je serais soutenu, non par des politiques économiques, mais par Dieu. Au fil du temps, vous aurez une compréhension plus claire du plan de Dieu, et ainsi, ce qui semble intellectuellement incompréhensible continuera à avoir du sens pour votre âme.
Ils seront arrêtés. Vous pouvez en être sûr. Pourquoi ? Parce que Dieu est plus puissant qu’eux. Je n’ai pas vu cela du tout. C’était totalement absent de ma conscience. Mais maintenant, je vois que non seulement il n’y a pas d’autre moyen, mais que c’est le meilleur moyen d’arrêter le déchaînement du mal qui fait maintenant le tour du monde.
Je vous souhaite bonheur et paix en cette belle soirée, et je vous demande de ne pas vous laisser perturber par mon livre, mais d’élever votre regard vers le ciel car, tout comme vous n’avez jamais manqué de rien, votre avenir sera rose avec non seulement des provisions matérielles, mais aussi le bonheur et la paix qui viennent avec l’amour et la foi Divins.
Antony Cyril Sutton (14 Février 1925 – 17 Juin 2002) était un économiste, historien et écrivain d’origine britannique. Antony Sutton a étudié à Londres, à Gottingen et en Californie. Il a obtenu un doctorat ès sciences à l’université de Southampton. Il a été professeur d’économie à l’université d’État de Californie à Los Angeles et chargé de recherche à la Hoover Institution de l’université de Stanford de 1968 à 1973. Pendant son séjour à la Hoover Institution, il a rédigé l’importante étude intitulée « Western Technology and Soviet Economic Development » (en trois volumes), qui soutient que l’Occident a joué un rôle majeur dans le développement de l’Union Soviétique depuis ses débuts jusqu’à aujourd’hui (1970). Sutton a fait valoir que la base technologique et manufacturière de l’Union soviétique – qui était alors engagée dans l’approvisionnement du Viet Cong – a été construite par des sociétés américaines et largement financée par les contribuables américains. Les aciéries et les usines sidérurgiques, l’usine automobile GAZ – une filiale de Ford, située dans l’est de la Russie – et de nombreuses autres entreprises industrielles soviétiques ont été, selon Sutton, construites avec l’aide ou l’assistance technique des États-Unis ou de sociétés américaines. Il a également affirmé que l’acquisition par l’Union Soviétique de la technologie MIRV a été rendue possible par la réception (de sources américaines) d’équipements d’usinage pour la fabrication de roulements à billes de précision, nécessaires à la production de masse de missiles équipés de MIRV. Le professeur Richard Pipes, de Harvard, a déclaré dans son livre « Survival Is Not Enough : Soviet Realities and America’s Future » (Simon & Schuster ; 1984) : « Dans son compte rendu détaillé en trois volumes des achats soviétiques d’équipement et de technologie occidentaux … Sutton arrive à des conclusions qui mettent mal à l’aise de nombreux hommes d’affaires et économistes. Pour cette raison, son travail a tendance à être rejeté d’emblée comme étant « extrême » ou, plus souvent, à être simplement ignoré. » (Source : Wikipedia)↩