Messages Contemporains 2011
Les expériences d’un Nazi dans le monde des esprits
Heinrich Himmler 1 - reçu par FAB le 18 Septembre 2011, Santa Cruz, Californie, USA.
C’est moi, Heinrich Himmler.
Je suis le premier Nazi du IIIe Reich à canaliser un message à travers vous, un Juif. Vous venez de lire « à Adolf Hitler, Volume II, John Toland » que j’ai fait preuve de gentillesse à l’égard de certaines des victimes du Reich, et je l’ai fait. Je conserve ces souvenirs.
Mais ils ne m’ont été d’aucun bénéfice, car même actuellement, je subis toujours le plus horrible supplice. J’ai souvent pensé que ce que j’endure est encore pire que ce que nous avons, nous Nazis, infligé à d’autres. Je sais que votre esprit ne peut saisir cette idée avec votre connaissance sur les tortures indicibles que nous avions infligées à ceux qui nous paraissaient une dangereuse vermine. Ce monde des esprits m’a crié que cette idée de base qui était la nôtre n’est pas du tout vraie. Il y a des esprits Nazis qui ne voient pas encore cela, et qui continuent à penser comme ils le faisaient sur la terre, même si l’évidence contredit leur croyance. Quant à moi, je suis pleinement conscient du terrible mal que j’ai commis et donc je n’ai aucune consolation.
Il y a beaucoup de vos contemporains qui souffrent du même pervers point de vue que j’ai eu. Ils pensent qu’ils sont dans leur droit en blessant et tuant les autres, et ils rationalisent cela. Mais Dieu ne peut être moqué, et le temps viendra où leur sort sera le même que le mien. Cela ne fait aucune différence de savoir quelle est la justification ; les résultats sont les mêmes. La fin ne justifie pas les moyens. Ce monde des esprits révèle cela de manière indubitable.
Oui, j’ai été autorisé à venir vers vous ce soir parce que vous avez appris au sujet de mon humanité à l’égard de certains, et ainsi vous ne trouvez pas ma présence troublante. Je peux comprendre le soin apporté par vos guides, puisque, par nos actes, vous avez perdu des proches.
Peu importe avec quelle sincérité et avec quelle passion une personne peut croire quelque chose, si c’est en désaccord avec la loi morale, la réponse correspondante est automatique et inévitable.
J’ai été informé que la libération est possible, mais je ne la vois pas. Je suis condamné à souffrir, et j’ai eu à supporter les railleries de ceux que j’ai tourmentés. Et qu’est ce que je pouvais dire ? J’ai mal agi et, maintenant, je paie pour cela.
Je suis heureux que vous êtes à l’aise avec ma présence. Je ne vois pas de haine en vous à mon égard et votre guide ange gardien me dit que l’amour chasse la peur. Vous êtes un peu bouleversé d’entrer en contact pour la première fois avec quelqu’un comme moi, mais je peux vous assurer que je ne vous veux aucun mal. En outre, vos guides ne permettraient en aucun cas que je vous fasse du mal.
Dans ma jeune vie, j’ai voulu faire des choses braves, des choses nobles. Mais au lieu de cela, j’ai maudit mon âme. Oh, ne faites pas ce que j’ai fait, mortels ! Mais certains suivent aveuglément le chemin que j’ai pris, et donc, en effet, ils trouveront qu’un enfer les attend.
Heinrich Luitpold Himmler (Octobre 1900 – 23 Mai 1945) était le Reichsführer SS, un commandant militaire, et un membre éminent du parti Nazi. Comme chef de la Police allemande et plus tard ministre de l’intérieur, Himmler a supervisé toutes les forces de police et de sécurité, internes et externes, y compris à la Gestapo (Police secrète d’État). Servant comme Reichsführer et plus tard comme commandant de l’armée de terre de réserve et plénipotentiaire général pour toute l’administration du Reich (Generalbevollmachtigter Verwaltung), Himmler est devenu un des hommes les plus puissants de l’Allemagne Nazie mais aussi l’une des personnes les plus directement responsables de l’Holocauste. Comme superviseur des camps de concentration, des camps d’extermination et des Einsatzgruppen (littéralement : des groupes de travail, souvent utilisés comme escadrons de la mort), Himmler a coordonné l’assassinat de quelque 6 millions de Juifs, entre 200 000 et 500 000 Roms, de nombreux prisonniers de guerre, et peut-être un autre 3 à 4 millions de polonais, communistes ou autres groupes que les Nazis jugeaient indignes de vivre ou tout simplement « dans le chemin », y compris les homosexuels, les personnes avec des handicaps physiques ou mentaux, les témoins de Jéhovah et les membres de l’Église Confessante. Peu avant la fin de la guerre, il a offert la capitulation de l’Allemagne et sa reddition aux alliés occidentaux en échange de l’abandon de poursuites. Après son arrestation par les forces britanniques le 22 mai 1945, il s’est suicidé, le lendemain, avant qu’il ne puisse être interrogé. (Source : Wikipédia)↩