Messages Contemporains 2011
Le point de vue de Franklin Roosevelt
Franklin D Roosevelt - reçu par FAB le 13 Janvier 2011, Berkeley, Californie, USA.
C’est moi, Franklin Roosevelt.1
Vous venez de terminer la lecture du livre d’Antony C. Sutton de 1975, « Wall Street et FDR ». Vous aimeriez connaître ma réponse.
Je suis coupable.
Ce qu’il oublie, cependant, c’est que j’avais le sens du service au pays. Mais cela s’est emmêlé avec les ficelles des grandes entreprises avec lesquelles j’ai conspiré. Je pensais que certains aspects du New Deal étaient utiles à mes concitoyens, et je le pense toujours. Mais comme le livre l’indique, il y avait un plan plus sombre. Et comme j’étais un acteur de premier plan, j’en ai subi les conséquences.
M. Sutton est d’avis qu’aucun gouvernement n’est meilleur que la participation gouvernementale. C’est l’une des questions brûlantes de l’Amérique contemporaine. Je sais que vous êtes incertain de tout cela. Tout ce que je peux dire, c’est que Dieu vous guidera vers la vérité. Dans une perspective plus large, les violations des lois de Dieu impliquent des conséquences. Je ne voyais pas cela clairement, mais je le vois maintenant, et avec cela, le malheur et la souffrance que j’ai vécus.
Où en suis-je aujourd’hui ? Eh bien, j’ai considérablement progressé depuis l’obscurité qui m’a accueilli ici. Et c’est parce que ma volonté a été renforcée par l’adversité de ma polio, et j’ai pu utiliser cette volonté renforcée ici pour émerger de l’obscurité à une lumière relative en apprenant le chemin du bonheur dans l’Amour Divin. Oui, je le sais.
Je vois que votre esprit va et vient de l’optimisme au pessimisme. Vous ne voyez pas objectivement d’issue. Mais il y a une issue, et vous la trouverez, parce que vous la voulez et la cherchez.
Je vous souhaite, mon ami, une bonne journée. Il n’y a rien de plus puissant que Dieu.
L’ensemble des messages communiqués par Franklin Delano Roosevelt est accessible par l’intermédiaire de ce lien.↩