Messages Contemporains 2009
Le point de vue d’un président
Woodrow Wilson - reçu par FAB le 28 Décembre 2009, Santa Cruz, Californie, USA.
C’est moi, Woodrow Wilson.1
Vous êtes en train de lire que j’ai favorisé le contrôle par les banques, et que j’ai une approche moins qu’idéaliste de notre pays et de notre gouvernement, alors laissez-moi commenter. J’ai dit dans ma canalisation du 20 Décembre 2006, que j’avais le sentiment d’un but plus élevé pour l’Amérique, et je confirme que c’est ce que j’ai ressenti. Mon intelligence, ma connaissance de l’histoire et ma position élevée m’ont donné l’idée que je pouvais conduire mon pays à la grandeur.
Eh bien, les deux opinions existaient simultanément dans mon esprit. Vous trouvez cela très difficile à comprendre, mais c’est ainsi. J’imaginais un gouvernement mondial dans lequel l’Amérique jouerait un rôle de premier plan. J’ai décrié dans ma canalisation ce que j’appelais la composante cupidité, et vous vous demandez donc comment j’ai pu favoriser les banques. Je ne voyais pas ces banques comme des spoliateurs cupides de l’économie. Je les voyais comme des forces stabilisatrices. Je me suis donc senti différent de tant d’autres Américains et d’autres présidents.
Vous êtes influencé par la situation actuelle de notre cher pays. C’était différent à mon époque. Je me suis séparé de présidents comme Thomas Jefferson et Andrew Jackson, qui voyaient une banque centrale comme une chose horrible.
L’ensemble des messages communiqués par Woodrow Wilson est accessible par l’intermédiaire de ce lien.↩