Messages Contemporains 2009
Quelque chose de merveilleux à attendre avec impatience
Ida Tarbell 1 - reçu par FAB le 24 Décembre 2009, Santa Cruz, Californie, USA.
Je suis Ida Tarbell.
Tant de temps s’est écoulé depuis que j’ai vécu les choses que vous êtes en train de lire [sa biographie, “Ida Tarbell, Portrait of a Muckraker” par Kathleen Brady]. Bien sûr, je ne peux utiliser que la métaphore du temps puisque vous vivez encore dans la vie mortelle. Lorsque je suis arrivée ici, j’ai été désorientée et j’ai découvert un tout nouveau monde que je n’aurais jamais pu imaginer. J’ai alors réalisé à quel point mes perceptions de mortelle étaient limitées. Je me suis épanouie, mais j’ai aussi lutté, car pendant longtemps, je n’ai pas pu concilier certaines de mes conceptions de la vie avec ce que j’ai vécu ici.
Certes, l’aide est toute proche. Il y a eu une mobilisation des bons esprits et des Anges d’une manière dont j’ai été informée qu’elle ne s’était jamais produite à ce point auparavant. Oui, c’est vrai, et vous verrez les résultats de nos efforts, comme le fera le monde entier. La délivrance viendra.
Ida Minerva Tarbell (6 Novembre 1857 - 6 Janvier 1944) fut une enseignante, auteur et journaliste américaine. Elle était connue comme l’une des principales « muckrakers(fouineuses)» de son époque, travail connu à l’époque moderne, dans l’ère progressiste, sous le nom de « journalisme d’investigation. » Elle a écrit de nombreuses séries de magazines et biographies remarquables. Elle est surtout connue pour son livre de 1904 intitulé « The History of the Standard Oil Company (l’histoire de la Standard Oil Company) », qui compte 654 pages et a été classé cinquième dans la liste des 100 meilleurs ouvrages de journalisme américain du XXe siècle établie par le New York Times en 1999. Elle a commencé son travail sur la Standard Oil Company après que ses rédacteurs en chef du magazine McClure’s lui aient demandé un article sur l’un des Trusts. Elle pensait que le public serait ennuyé par l’histoire des régions pétrolières, même si son chef John D. Rockefeller, Sr. avait mis son père en faillite. (Source : Wikipedia)↩